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Micheline, t’es ma copine !

Publié le par Fille Ainée

Je suis abonnée à la newsletter de Marmiton. Tous les jours, je reçois une recette de cuisine qui quelques fois ne m’emballe pas plus que ça. Mais la brioche proposée par Micheline m’a interpellée. Bon, je ne connais pas Micheline personnellement, mais avec une brioche pareille ICI l'amitié est chose facile.

 

Vous allez me dire, une brioche, c’est pas la mer à boire ! Eh ben si ! D’abord, il n’y a pas de levure de boulanger sur mon île chaude et humide. Ou du moins, il doit bien y en avoir, mais il est impossible de s’en procurer. J’en avais obtenu par des moyens plus ou moins avouables l’année dernière, et je l’avais congelé (oui ça se fait), mais SuperNanny dans un élan de tornade blanche m’a littéralement vidé le congélateur l’été dernier et a donné ma précieuse levure aux poissons. J’en aurais pleuré ! J’en ai donc fait un stock lors de mon dernier séjour en France.

 

D’autre part – et Grande Copine confirmera – l’humidité extrême qui règne quelques fois sur notre île chaude et humide, fait qu’il est impossible de faire lever quoi que ce soit (même Grand Nain un dimanche matin avant 11 heures !). Et c’est là où la petite astuce de Micheline qui consiste à faire chauffer de l’eau dans son four à micro-ondes et à ensuite faire lever sa pâte à l’intérieur a attisé ma curiosité. Et bien ça marche du tonnerre. Il faut simplement se rappeler de ne pas ouvrir la porte pendant 1h30. Micheline, tu nous sauves la vie !

 

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Je ne peux malheureusement pas vous faire sentir mais c’est divin !

 


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Quand les arnaqueries du marketing me titillent les neurones

Publié le par Fille Ainée

Quand on va au cinéma, sur mon île chaude et humide, et surtout si l’on va voir des films de d’jeunes, tout est en 3D. Impossible de trouver la bonne version aplatie en 2D, il faut se résigner à pencher la tête pour éviter des insectes qui se précipitent sur vous ou hurler avec le reste de la salle en voyant voler des morceaux d’avion en explosion ; tout ça pour de faux bien entendu.

 

Mais ça ne s’arrête pas là ! Le comble du 3D, c’est le 4D, où là, nous seulement on vous envoie des trucs à la figure mais en plus on vous pleut dessus et un grand courant d’air vous décoiffe quand ce n’est pas le siège qui bouge ! Je me souviendrais d’ailleurs toujours d’Arthur et les Minimoys qui avait fort impressionné mes Nains à l’époque surtout dans la descente du toboggan et à l’arrivée dans la rivière. Serviettes pour se sécher non incluses !

 

A l’époque, donc, les lunettes 3D étaient proposées à l’entrée de la salle, propres, sans trace de doigt et désinfectées au cas ou le porteur précédent eut eu de l’herpes sur les oreilles ! Ben plus maintenant ! Les petites gens du marketing, après avoir longuement cogitées, ont découvert qu’il était bien plus rentable de VENDRE ces lunettes aux p’oves spectateurs non avertis tels que nous. Ben voyons. Vente forcée puisque sans ces lunettes magiques, le film est flou et quand vous payez votre place de cinéma à plus de 8 euros, vous avez quand même un peu envie de savoir ce qui se passe sur l’écran, non ?

 

Qu’à cela ne tienne, nous avons acheté nos propres lunettes 3D et à part une occasion où il m’a fallu faire demi-tour car j’avais laissé les lunettes à la maison (pas question d’en racheter, qu’aurais-je fait de deux paires, je n’ai que deux yeux !), nous avons toujours fièrement exhibés NOS lunettes qui d’ailleurs, à peu de chose près, ressemblent à celles des autres. J’attends donc avec impatience celui, qui au fond de son usine en Chine, est déjà passé à la production en masse de lunettes colorées et à motifs !

 

 

D’ailleurs, je tiens à faire remarquer à ce Monsieur que je préférerais qu’elles ne ressemblent pas à mes lunettes de soleil car il m’est arrivé (une fois seulement rassurez-vous, j’ai vite compris la différence) de regarder les 10 premières minutes d’un film avec mes lunettes de soleil en me demandant pourquoi le film était soudain dépourvu de relief ! 

 

 

Alors, quand une petite copine de Petit Nain est venu pour son premier « sleepover » (comprenez dormir chez une copine en essayant de faire le plus de bruit possible à 11 heures du soir quand tout le monde veut dormir et essayer de garder les yeux ouverts le lendemain quand on a réveillé toute la maisonnée à 5 heures du matin !), et que nous avons voulu l'emmener au cinéma, il a bien fallu acheter à cette innocente créature sa paire de lunettes. Je n’allais quand même lui demander de partager les lunettes de Petit Nain. Un verre chacune ça aurait pu marcher, mais quand même ne soyons pas rabat-joie !

 

Nous lui avons donc acheté ce précieux outil visuel et pour éviter que cet enfant ne les égare, je les ai glissées dans son sac, protégées dans une petite pochette personnalisée.

 

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Cependant, Messieurs du Marketing, vous allez finir par avoir ma peau car maintenant mes Nains veulent la leur !


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Réincarnation

Publié le par Fille Ainée

Dis quand je serai morte, est-ce que je pourrais me réincarner en cuisine ?

 

Grande passion soudaine pour tout ce qui est petit et glisse en bouche.

 

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Petites têtes d’asperges au jambon de Bayonne

 

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Rouleaux de saumon fumé au gingembre confit

 

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Bouchées miniatures au citron et citron vert meringuées

 

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Mini éclairs à la crème (fondant aux couleurs nouvelle tendance)

 

C’est Grande Copine qui m’a servi de cobaye et moi je m’éclate aux fourneaux. Avant, je voulais être coiffeuse, mais voilà que j’ai changé d’avis !

 


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On s’fait une tite mousse ?

Publié le par Fille Ainée

Ces fêtes de Nouvel An chinois ont été lourdes, très lourdes à digérer ! Soirée fondue avec Grande Copine, extase (que dis-je, « orgasme ») gastronomique avec Chef Tom, le mari du professeur d’histoire/géo de Grand Nain, et qui avant de venir s’installer sur notre île chaude et humide travaillait au Fat Duck à Londres (si vous ne connaissez pas, cliquez ICI mais je ne réponds de rien), dîners multiples en ville et petites bouteilles de bulles, il était temps de ralentir et de se faire une petite douceur légère. Je vous propose donc le duo de mousses framboises/mangue. A déguster sans modération si vous optez pour la crème 0% (but where’s the fun ?). 

 

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- 2 mangues

- 200 g de coulis de framboise

- 250ml de crème fleurette

- 1 sachet de sucre vanillé

- 4 feuilles de gélatine

Mettre 4 feuilles de gélatine 10 min dans de l’eau.

 

Faites chauffer le coulis de framboise et y incorporer 2 des feuilles de gélatine égouttée. Laissez refroidir.

 

Battez la crème fleurette en chantilly. Incorporez la moitié de la crème au coulis avant gélification.

 

Après avoir mixé les mangues, faites la même chose en y incorporant les deux feuilles de gélatine restantes et le reste de la crème fleurette fouettée. Ajouter le sachet de sucre vanillé.

Versez dans des coupes le coulis de framboise avec le crème et laissez prendre au réfrigérateur. Au bout d’une heure, rajoutez par-dessus la purée de mangue. Laissez refroidir.

 


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KAL…ée ?

Publié le par Fille Ainée

Alors les filles, je ne vous entends plus ! Où en êtes-vous dans ce châle rectangulaire. Je sais que Flo est partie comme une fusée suivie de près par Tricotine. Quant à cathy, elle a enfin réussi à surmonter les obstacles du premier rang. Donc si mes prévisions sont exactes, vous devriez en avoir terminé avec la bordure qui devrait normalement ressembler à ceci :

 

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A moins que certaines n’aient eu le vent en poupe et en soient déjà au point celtique, c’est-à-dire là :

 

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Dites-moi tout !

 

 

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Journal ou pas journal ?

Publié le par Fille Ainée

Je viens juste de terminer Mille femmes blanches de Jim Fergus et j’avoue que même si j’ai entendu de très bonnes critiques à son égard, mon avis est assez partagé.

 

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Ce roman rapporte un fait historique largement ignoré : le troc de mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l'intégration du peuple indien en 1874. Décision acceptée dans le plus grand secret par le président américain Grant. Ces femmes qui se sont portées volontaires venaient en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les États-Unis d'Amérique et cette transaction représentait pour elles le seul moyen de s’échapper et de regagner leur liberté à une époque où il était facile de faire interner une épouse encombrante sous prétexte de “folie”. Ce roman raconte donc le périple de ces femmes aux côtés de la tribu des Cheyennes.

 

J’en ai trouvé sa lecture assez plaisante, même rapide, mais quelques doutes m’ont assaillis en milieu de lecture et je me suis demandé si j’avais bien fait de le lire en français et non en VO. Utilisait-on vraiment le mot « pote » au 19eme siècle comme semblent l’employer très souvent au cours du roman deux des personnages ? Le même mot figure t-il dans la version britonne ou est-ce une espièglerie du traducteur ?

 

J’ai commencé ce livre persuadée qu’il s’agissait là de la reproduction exacte des carnets de voyage de May Dodd comme l’indique l’auteur « Excepté quelques ajustements minimes du point de vue de l’orthographe et de la ponctuation, les carnets présentes aux chapitres suivants n’ont pratiquement pas subi de corrections. Ils ont été transcrits exactement comme leur auteur, May Dodd, les a écrits. » Et puis à la fin je trouve ceci « ce livre est une œuvre de fiction (…) si l’on reconnaît le nom de certaines figures historiques, les personnages qui les incarnent ici sont tout aussi fictifs. Patronymes, caractères, lieux, dates et descriptions géographiques sont, soit le produit de l’imagination de l’auteur, soit insérés dans cette fiction. ».

 

Ben alors là, je ne comprends plus rien ! Est-ce réellement la transcription fidèle des carnets de May Dodd, ou Jim Fergus a t-il brodé une histoire autour de quelques lignes retrouvées ? Les personnages qui ont fait partie de la vie de May Dodd, tels rapportés dans ce roman, étaient-ils réels ou simplement le produit de l’imagination de M. Fergus ? Du coup je me suis sentie dupée. Et comble du comble, je déniche en préface la chose suivante « Jim Fergus a imaginé le journal d’une des femmes qui ont été données en mariage aux Indiens en 1875 ». Je deviens chèvre, du coup !

 

Je ne dis pas que je n’ai pas aimé l’histoire et je me suis prise, moi aussi, à rêver de cette existence hors du commun, dans les grandes plaines d’Amérique mais, il y a des passages du livre où je me suis quelques fois demandée si Jim Fergus ne se prenait pas pour le Marquis de Sade du 20eme siècle. May Dodd a t-elle vraiment écrit les détails de sa vie intime (surtout à son époque et avec son éduction) ou est-ce M. Fergus qui en a profité pour glisser ses fantasmes les plus fous ? 

 

Je m’explique : l’héroïne se trouve seule et nue dans un lac, un pervers qui sent le bouc arrive pour lui faire des misères et soudain voilà qu’apparaît sur son grand poney blanc, son mari Little Wolf avec son fouet pour la sauver d’une perdition certaine ! Vous y croyez vous ? Quand vous vous faites agressée par des loulous de basse-cour dans le métro, il apparaît Monsieur votre mari sur son poney blanc ? Nan, vous vous faites piquer votre sac comme tout le monde pendant que Monsieur votre mari est au pub avec ses copains. Et en plus, vous vous faites engueuler le soir parce que vous rentrez tard ! Ben évidemment, comme vous n’aviez plus d’argent pour prendre le bus, il vous a fallu finir les derniers kilomètres à pied. Moi, je vous l’dit, cet homme n’est pas net, surtout si l’on en croit son dernier livre « Marie Blanche » (et Moutie le confirmera, j’en suis certaine).

  

 

Si vous l’avez lu, dites-moi ce que vous en avez pensé. Si vous ne connaissez pas ce roman, je vous rassure, il est quand même divertissant mais je m’en tiendrais là en ce qui concerne l’auteur. 

 

 

Publié dans Au fil des pages

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Vous croqueriez bien la pomme avec moi ?

Publié le par Fille Ainée

Je suis certaine qu’Adam et Eve n’en avaient pas une aussi jolie que celle-là :

 

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Pour célébrer le Nouvel An chinois, même les pommes se font tatouer au supermarché !

 

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Kung Hei Fat choi ! C'est l'année du Dragon.

 

 

Publié dans Tranches de vie

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Et que la fête commence !

Publié le par Fille Ainée

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Publié dans Tranches de vie

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Clin d’œil du week-end

Publié le par Fille Ainée

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Des combinaisons de survie spéciales qui permettent à une personne de rester dans des eaux gelées pendant plus de six heures où des saucisses apéritif pour requins affamés ? (Photo Reuters par Fabian Bimmer)

 


Publié dans Trouvailles rigolotes

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Pourquoi pas un KAL ?

Publié le par Fille Ainée

A défaut de Stitch Along, je viens d’inventer le Knit Along, autrement dit le KAL !

 

Toutes celles qui avaient envie de me suivre dans cette aventure doivent maintenant être en possession de la traduction française, envoyée par mail, et pour celles qui n’osent pas se déclarer, sont timides, ou préfèrent tricoter dans leur coin, vous pouvez toujours consulter la traduction française ICI (en espérant qu’Overblog ne me mange pas une nouvelle fois mon lien). Par contre, soyez sympas les filles, si vous diffusez la traduction – le modèle original étant après tout un free – pensez à mettre un lien vers mon blog parce que mine de rien, ça prend du temps de traduire ces petites bêtes là !

 

Je vous ai laissé un tableau des équivalents anglais au cas où certaines d’entre vous voudraient se lancer dans le tricot version britonne. Vous verrez, ce n’est pas si compliqué que ça, même Moutie y est arrivée !

 

Juste une petite précision au niveau de la réalisation du châle (suite à une question de Cathy), les explications pour le point de nœud ne sont là qu’à titre indicatif pour vous permettre de comprendre le point que vous allez réaliser au rang 29 du châle. Mais, il est nécessaire de commencer l’ouvrage par le 1er rang, celui qui figure sous l’intitulé « CHÂLE ». 

 

Je vous attends donc la semaine prochaine pour montrer vos débuts. Je m’arrête au rang 44 pour que vous puissiez me rattraper. Et Tricotine, ne fait pas de zèle s’il te plait. Tu m’as déjà fini le Haruni en 3 jours, manquerait plus que tu ne te disperses à nouveau. Sinon, comme prochain projet, je te fais tricoter ce bonnet méninges. Beurk !

 

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@N_Ouellet!

 


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