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C'est l'heure du bain de soleil !

Publié le par Fille Ainée

Un patron gratuit, ça vous dit ? Cette semaine, je vous emmène chez Vera Venus ICI. Un site qui regorge de patrons vintage gratuits. En général, je me méfie car dans les vintages, il y a de tout. Et puis les tailles ne sont pas toujours évidentes. Mais là, c'est un sans faute pour cette petite robe bain de soleil !

C'est l'heure du bain de soleil !

J'ai eu un moment de flottement au moment de l'assemblage du patron car ce que m'avait craché mon imprimante, ne correspondait pas aux instructions. Et puis, comme il y a très peu de planches - le patron ne concerne que le haut de la robe - je me suis vite repérée. 

La taille correspond à un 38 taille fine. Malgré le fait que les instructions (en briton) sont un peu à l'arrache - Vera Venus est fort économe en terme de ponctuation - la réalisation de cette petite robe ne pose pas de grosse difficulté pour celles/ceux qui ont déjà quelques heures de MAC sous le coude. 

La seule chose que j'ai modifiée, c'est la hauteur du dos. J'ai rajouté 6 cm pour que le panneau recouvre les agrafes de mon soutien-doudounes. Comme la nature ne m'a pas bien avantagé (c'est Cadette qui a tout pris), je préfère mettre toutes les chances de mon côté ;-)

C'est l'heure du bain de soleil !

Et point fort de cette réalisation : l'utilisation, pour la première fois, de mon pied "fermeture invisible".

C'est l'heure du bain de soleil !

Après des années à galérer pour poser des fermetures à glissière qui ressemblaient à quelque chose de décent, j'ai craqué et investi dans un pied qui change la vie. Style mais pourquoi n'y as-tu pas pensé plus tôt, pôve fille ! Pour celles/ceux qui hésitent encore... lâchez prise ! Un jeu d'enfant.

C'est l'heure du bain de soleil !

Pour la jupe, vous avez le choix entre jupe en rond ou jupe plissée. J'ai opté pour la version froncée qui facilite l'ourlet dans le bas et économise le tissu. Le patron de la jupe ne figure pas sur le site mais une jupe plissée, c'est pas bien sorcier. 

Au final, une robe dans laquelle je me sens vraiment bien. 

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Une histoire qui me hante

Publié le par Fille Ainée

Au début des années 1900, en Angleterre, Lucy Muir, veuve depuis peu, étouffe auprès de sa belle-famille. Elle décide donc de louer un cottage dans la station balnéaire de Whitecliff. L’agent immobilier qui lui fait visiter la maison fait tout pour l’en dissuader : La maison est hantée ! Mrs Muir, n’en faisant qu’à sa tête, s’y installe avec ses deux enfants.

Dès le premier soir, elle surprend l’apparition de l’ancien propriétaire, le capitaine Daniel Gregg. C’est ainsi qu’une amitié se développe entre la jeune veuve et le capitaine bourru, aux idées en totale opposition avec la morale et l'hypocrisie victorienne de son temps.

 

Une histoire qui me hante

Ce petit livre possède un charme indéfinissable, un humour léger. Il est plein de poésie. C’est un ouvrage délicat qui baigne dans une atmosphère nostalgique et légèrement surannée. Ce n’est pas un chef d'œuvre de la littérature mais c’est un roman au doux parfum de thé anglais qui se lit en une après midi.

J’avais vu le film, magistral et superbe, adapté du roman. Je pense qu’il est supérieur en qualité au livre mais je ne peux m’empêcher de savourer cette histoire complètement insensée et surréaliste. Cela ne fait pas de mal de rêver un peu, non ? Et qui sait si, dans un des coins de ma maison, ne rôde pas un esprit frappeur ? Après tout, qui laisse traîner de la vaisselle dans l’évier et des chaussettes sales dans la salle de bain ? Ah non, ça se sont les Nains ! Dommage.

A consommer sans modération !

Publié dans Au fil des pages

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Noir & Blanc

Publié le par Fille Ainée

Noir & Blanc

Envolée de mouettes en noir et blanc, Nouvelle-Zélande. 

Pour d'autres versions "noir & blanc", cliquez ICI.

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Dans les culottes de Tania

Publié le par Fille Ainée

La Tania's culotte, ça vous dit ? Cette jupe-culotte fait un tabas sur le net. C'est LA jupe culotte de la saison ! Alors évidemment, elle m'intriguait moi. Surtout qu'on ne la soupçonne même pas. C'est le pli qui fait tout le boulot ! Bref, assez papoté, je vous la montre.

Dans les culottes de Tania

A la base, un tissu très souple, avec un beau tombé. Et surtout beaucoup de tissu car cette jupe-culotte est taillée en biais. Alors forcément, il faut voir venir. Et puis, juste deux panneaux. C'est en quelque sorte, au niveau patron, un grand short gargantuesque. 

Un peu la galère pour assembler le patron PDF mais en prenant son temps, on y retrouve ses petits. Les explications sont hyper faciles à suivre (en briton) et très bien illustrées. Donc si vous êtes une quiche en briton, ne vous faites pas de mouron. 

J'ai choisi une taille M pour un 40, et la version midi, et cette jupe-culotte me va comme un gant. Enfin, plutôt comme une culotte. Et comme la pose de la fermeture invisible ne me fait plus peur, je me suis régalée. Seul petit bémol, la ceinture qui est légèrement trop haute. Mais une fois un T-shirt glissé dedans, et une grande ceinture, on n'y voit que du feu.

Dans les culottes de Tania

Pour le patron PDF, cliquez ICI.

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Travaux de voirie

Publié le par Fille Ainée

La règle générale veut que lorsque l'on entreprend des travaux de rénovation de voirie, dans tout pays civilisé, on avertisse les propriétaires des voitures garées le long de ces voiries. En leur laissant au moins une semaine pour déplacer leurs voitures. Ici aussi ! Sauf que, certaines voitures ont été abandonnées ou alors les propriétaires ne savent pas lire ! Alors ça donne ça !!

Travaux de voirie

Des zèbras qui ne zèbrent qu'à moitié...

Travaux de voirie

et du bitume... artistiquement répandu autour de l'objet gênant ! L'art du contournement !!!

Et là, on ne peut s'empêcher de ricaner en se demandant pourquoi, mais pourquoi, les ouvriers n'ont pas pu la déplacer ! Ah Malaisie, tu ne cesseras de m'étonner. 

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Un rubi mais pas au doigt !

Publié le par Fille Ainée

L'été sera chaud les filles et pour vous le prouver, je vous sors la Rubi de chez Tessuti ICI.

Un rubi mais pas au doigt !

Une robe tellement facile d'exécution que ce serait dommage de n'en faire qu'une ! 

Un rubi mais pas au doigt !

Comme d'habitude, un patron à télécharger - en échange d'une petite transaction plastique of course - et des explications hyper claires du genre tu peux pas te louper.

J'ai pris une taille 10 pour un 38/40. C'est également le deuxième patron que je commande dans cette boutique en ligne. Le premier était le robe Alice LA. Une valeur sûre, je confirme.

La version lin me tente énormément mais je n'ai pas encore déniché mon bonheur côté tissu. 

Petite remarque au sujet des poches. Les repères sont bien précisés sur le devant et le dos mais malheureusement le patron de la poche même ne paraît pas sur le papier. Je me suis donc contentée de prendre les poches d'une autre robe. Un oubli ?

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Regard

Publié le par Fille Ainée

Regard

Ce montage photo a été réalisé par un collègue de Moyen Nain, l'année dernière, en classe, pour un examen. Le Nain dans ce regard est Moyen Nain quand il mesurait tout petit. 

Si par curiosité vous voulez aller REGARD...ER ce qui se passe chez Les Bottes Rouges, cliquez ICI

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Capri, non ce n'est pas fini !

Publié le par Fille Ainée

C'est la saison des shorts ! Si, si, je vous l'assure, chez nous c'est short et tongs toute l'année. À un point même où ça en devient très ennuyeux. 

Toujours plongée dans Couture pour l'été d'Annabel Benilan, j'ai voulu essayer le short Capri avec un reste de tissu de ma robe Malo ICI

Capri, non ce n'est pas fini !

Rien à dire et je commence à croire que ce petit bouquin va me suivre longtemps. Aucune difficulté au niveau du montage des poches, rien à dire au sujet de la taille qui tombe pile poil si ce n'est peut-être une entrejambe un peu juste si comme moi vous aimez les pantalons/shorts à taille haute. 

Capri, non ce n'est pas fini !

Je pense retourner souvent à Capri, c'est tout dit !

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Le charme fou d'un voyage dans le temps

Publié le par Fille Ainée

Imaginez que l’instant d’une visite, vous puissiez remonter dans le temps. Fermez les yeux, laissez-vous porter par les odeurs, les bruits. Laissez courir votre imagination. Mettez tous vos sens en éveil. Entrez dans la maison de Dennis Severs.

 

credit photo : Matt Brown - flickr

credit photo : Matt Brown - flickr

A la fin des années 70, un américain, Dennis Severs fait l’acquisition d’une maison dilapidée au cœur du quartier de Spitalfields, à Londres, et y emménage jusqu’à son décès en 1999. Son rêve d’artiste : y créer une capsule temporelle, un musée tridimensionnel, un tableau vivant dans une maison typique du Londres du 18eme siècle. Spitalfields est maintenant un quartier prisé de Londres mais au 18eme et 19eme siècle, c’est un quartier que l’on évite. Pauvreté, cholera, prostitution et crime y sont monnaie courante.

 

Au 18 Folgate street, Dennis Severs « installe » alors une famille de huguenots, tisseurs de soie, les Jervis, protestants français, ayant fui les dragonnades pour venir s’installer à Londres. Et le temps d’une visite, cette famille du 18e siècle nous fait remonter dans le temps.

 

On découvre, par petits groupes et dans le silence complet, l’intérieur de la maison. Il n’y a pas d’électricité, les 10 pièces reparties sur 5 étages de planchers craquants sont éclairées à la bougie. Gare à celui qui hausse la voix ou ose prendre des photos ! Dennis Severs allait même jusqu'à éjecter dans la rue quiconque manquait de respect et se permettait de rire. Le pauvre touriste asiatique de notre groupe qui n’a pu s’empêcher de dégainer son téléphone en a fait les frais.


Nous commençons la visite par le garde-manger. La pièce est sombre, tellement sombre que nous avons du mal à distinguer ce qui se trouve dans les coins. Il faut dire que la journée est maussade ce qui n’arrange rien à notre affaire !

credit photo : Roelof Bakker

credit photo : Roelof Bakker

Dans la cuisine, un feu crépite dans l’âtre. En entrant dans la pièce, on entend les pas de la cuisinière qui a prestement quitté les lieux. Il y a de la farine sur la table, une tourte inachevée… visiblement, notre arrivée a interrompu la préparation du repas. Profitant de son absence, nous faisons le tour de la pièce. Ici, pas de limite à notre curiosité, pas de corde pour nous empêcher de jeter furtivement un coup d’œil dans les placards laissés entrouverts. Au-dessus de nos têtes, nous entendons des pas. Serait-ce Monsieur Jervis ? L’éclairage à la bougie et ce feu dans la cheminée donne une ambiance irréelle à la scène. On se prend au jeu.

 

source inconnue

source inconnue

A l’étage, dans la salle à manger, la famille a quitté précipitamment les lieux en entendant notre arrivée. Des chaises renversées, des restes de diner, des verres à moitié vides. Serions-nous devenus des intrus ?

 

Source inconnue

Source inconnue

La famille se serait-elle, un instant, refugiée dans l’élégant salon de Madame Jervis, nous devançant ainsi d’une pièce à l’autre ?

Source inconnue

Source inconnue

Lorsque nous arrivons à l’étage supérieur, il subsiste un parfum de clou de girofle, d’orange. Nous sommes dans la chambre à coucher de Madame Jervis. Le lit est défait, les vêtements épars. Elle aussi se fait discrète.

 

Au dernier étage, nous sommes plongés dans une toute autre atmosphère. Sur les murs de l’escalier humide poussent des champignons, le linge pend et le plafond s’effondre. Dans la chambre, l’ombre de Charles Dickens plane.


 

Source inconnue

Source inconnue

Nous sommes visiblement passés au siècle suivant. Les Jervis, en difficulté financière, se sont résolus à louer les pièces du grenier à une famille d’ouvriers pour arrondir leurs fins de mois. Ca sent le rance, le moisi, l’urine. Devant la fenêtre, un chat noir ! Grand Nain et moi sommes ravis de ce détail qui rend la mise en scène si réelle. Ce n’est que lorsque le félin bouge l’oreille que nous réalisons, stupéfaites, qu’il s’agit d’un véritable chat noir et apprenons plus tard qu’il s’agit du chat de Dennis Severs que le musée a conservé après la mort de son maître pour le plus grand plaisir des visiteurs. Cela semble ridicule mais cet animal a été pour nous la cerise sur le gâteau. Le détail vivant qui a donné toute sa réalité à cette magnifique mise en scène.

Source inconnue

Source inconnue

Nous finissons la visite absolument charmées par ces lieux, convaincues que peut-être une fois les visites terminées, les Jervis reprennent possession de leur maison !

 

N’ayant pas pu prendre de photo, celles qui sont publiées dans cet article ont été « empruntées » sur le Net. Pour ceux/celles qui désirent en voir plus, cliquez ICI. Je vous recommande vivement ce détour insolite. Grand Nain et moi avons adoré !

 

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Ça pique au Japon !

Publié le par Fille Ainée

Aperçu sur mon site de perdition, sitôt vu, sitôt cousu, mais incapable de vous dire qui est à la source !

Ça pique au Japon !

Il en faut peu pour m'occuper, surtout lorsqu'il n'y a plus de mur à peindre ni de sol à poser !

Ça pique au Japon !

Un petit bol japonais pour boire le thé (vide évidemment !), quelques bouts de tissu, des épingles, et voilà ! 

Ça pique au Japon !

Celui-là viendra se poser dans mon tout nouvel Atelier !

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