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Vous venez manger avec nous ?

Publié le par Fille Ainée

Qu’est-ce que vous faites vous le week-end quand vous avez faim ? Vous vous faites un doigt…

 

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Mewsli, grand amateur de chair humaine

 

ou, comme nous, un Tepanyaki ? Chez les 3xrien, on adore ce type de cuisine japonaise. Il s’agit de regarder, en salivant, un chef cuire, sous vos yeux, votre plat sur une grande plaque chauffante en fer.

 

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Et pour une somme très modique, vous pouvez déguster un petit bouillon de légumes, un bol de riz, des pousses de soja et des légumes verts pour accompagner soit du bœuf, de l’agneau, des crevettes ou des coquilles saint jacques, le tout préalablement mariné.

 

Et le tout est servi dans une « assiette » (une feuille de papier aluminium) à même la plaque de cuisson pour garder au chaud vos aliments. Miam !

 

Bon week-end !

 


Publié dans Tranches de vie

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"Prendre le temps" de faire une pause

Publié le par Fille Ainée

Profitant d'un matin tranquille pendant que les Nains étaient à l'école, j'ai fait ma pause en regardant « La tête en friche ». L'occasion également de finir ce petit ouvrage. 

 

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La grille est un gratuit des Petites Croix de Fred.

 

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J’avoue qu’à certains moments, j’ai eu du mal à broder, je n’arrivais pas à trouver où planter mon aiguille car j’avais les yeux un peu brumeux. C’est un film superbe, plein de sentiments. Une histoire tendre, pleine d’espoir qui vous donne envie de lire et relire tous vos classiques. Une histoire de gens simples, vrais, des personnages de tous les jours, touchants, amusants, et surtout authentiques.

 

 

Mais « La tête en friche », c’est avant tout un roman de Marie-Sabine Roger et qui a obtenu le Prix des Amis du Scribe en 2009. Si j’avais su j’aurais lu d’abord l’ouvrage avant de regarder le film mais tant pis, la tentation est trop forte de se laisser entraîner au plaisir des mots.

 

 

 

Publié dans Petites croix

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J’ai failli m’énerver !

Publié le par Fille Ainée

Il arrive quelques fois que la mode française me manque un peu et dans ces cas-là, je surfe le net et je passe des commandes que j’attends en général avec grande impatience. Et lorsque j’ouvre mon colis, c’est une grande bouffée d’air frais mais toujours suivie d'une bonne déception. La commande sur catalogue, ce n’est plus pour moi. Pas moyen d’apprécier la qualité du tissu, de constater si la coupe est bien près des hanches ou sac à patate, bref j’avais dit « plus jamais ».

 

Malheureusement, il devient maintenant de plus en plus difficile d’habiller Grand Nain qui devient trop exigeant: « tu peux m’acheter ce jean, de toute façon, je ne le mettrais pas ! » ou encore « j’aime pas la couleur, on dirait un truc de mémère ! ». J’avais donc été forcée, l’année dernière, de revenir sur mes résolutions et j’avais passé commande chez Celui que l’on Redoute.

 

Et ben ça n’a pas manqué, lorsque le colis est arrivé, la moitié des articles ne plaisait pas à Grand Nain et j’ai été obligé de poster, à mes frais bien entendu, les articles rejetés. Déjà, on court à la poste parce que comme le courrier met 2 semaines et que l’on en a que 3 pour se faire rembourser, il ne faut pas rester englué dans l’indécision du « j’aime, j’aime pas, et puis si je le gardais, et puis non tiens il ne me plait pas ». Et après, on attend, on attend, on attend…. le remboursement.

 

Au bout de 3 mois, j’ai enfin reçu une lettre d’un monsieur, qui me dit que je dois appeler Celui que l’on Redoute car mon adresse email n’est pas valable. Ah tiens donc ! J’appelle en tenant bien entendu compte du décalage horaire et c’est là où ça se corse. Du genre :

 


Heureusement, que les communications vers la France ne coûtent pas cher sinon j’aurais déjà dépensé 2 fois le prix des articles retournés.

 

J’obtiens enfin le service désiré et la gentille pouffiasse dame qui prend mon appel me demande « vous avez des enfants de moins de 21 ans ? ». Ben en quoi l'age de mes Nains est-il déterminant pour me faire rembourser ? Elle me répond que c’est pour mettre à jour mon dossier. Je suis perplexe mais je lui réponds que mes Nains vivent encore à mes crochets et qu’il va falloir attendre encore longtemps avant qu’ils ne passent leurs propres commandes chez Celui que l’on Redoute. Et là, elle continue, ignorante du fait que la moutarde commence à me monter au nez : « Pouvez-vous me donner leurs dates de naissance ? ». Ahhhhhhhhhh, ca y’est j’ai perdu mon sang-froid. Rendez-moi mon argent et laissez donc mes Nains tranquilles !

 

Conclusion, il a fallu 3 mois à Celui que l’on Redoute pour me rendre mes sous et l’on ne m’y reprendra plus. Le Nain ira nu ou habillé d’un jean de mémère !

 


Publié dans Tranches de vie

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L’AEF, c’est de la gnognotte !

Publié le par Fille Ainée

En ce moment, vous me faites toutes baver d’envie avec vos reportages sur l’AEF. Moi aussi, j’avais envie d’y aller cette année, de faire la queue pendant 1h dans le froid, de me faire bousculer par une bande d’hystériques, de jouer des coudes devant les stands, de me faire rouler sur les pieds par les valises de celles qui dévalisent le salon, d’arracher des mains le dernier bout de tissu convoité et de payer des sommes folles pour des articles qui de toute façon sont faits chez moi. Mais voilà, cela n’aurait pas été raisonnable. J’ai déjà fait le coup à Monsieur 3xrien l’année dernière : je lui ai laissé la garde des Nains que j’ai retrouvés, 3 semaines plus tard, nourris à la pizza – coca. Alors, cette année, je n’ai pas osé !

 

Pour me consoler, j’arpente les rues de mon île chaude et humide, j’explore le quartier des marchands de rubans, boutons et tissus et croyez-moi, en cherchant bien, j’y trouve à peu près la même chose qu’à l’AEF mais à des prix défiants toute concurrence. Une de mes amies brodeuses a exposé deux ans de suite à l’AEF et c’est, selon elle, un des salons les plus chers d’Europe. Alors on comprend qu’il faille gonfler les prix pour amortir le coût de location du stand. Par contre, ici, la saleté, la poussière et le fouillis local ne coûtent presque rien.

 

Un exemple : le tissu

 

Il y a deux façons d’acheter du tissu chez moi. La façon « échantillon » qui consiste à sélectionner son tissu sur des petites cartes échantillons comme celles-ci :

 

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Et là, ça peut vite tourner à l’overdose !

 

Dans ce cas-là, deux possibilités : soit le grossiste a du stock dans son arrière-boutique et vous êtes de suite comblée, mais ce à condition de ne pas en vouloir moins de 3 mètres (facile), soit vous passez commande et vous serez livrée le lendemain car votre rouleau de tissu vous attend de l’autre côté de la frontière, en Chine. Mais bon, quand on sait que le tissu coûte moins de 2 euros le mètre, on peut se permettre d’être patient !

 

Si vous êtes comme moi, et que vous n’avez besoin que de toutes petites quantités pour faire des mini patch, vous pouvez toujours récupérer plusieurs cartes d’échantillon ; elles sont gratuites !

 

Et puis, il y a la façon traditionnelle : celle du bon vieux rouleau de tissu enfoui sous les autres. Vous savez, celui qui va être impossible à sortir de la pile ! Vous pouvez tripoter les tissus à loisir, dénicher LE coton de la future robe de vos rêves. Mais là par contre, soyez certaine de votre choix car une fois que le vendeur aura démonté la moitié de la pile pour en extirper votre rouleau, pas question de changer d’avis.

 

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Je vous invite donc à découvrir ma caverne d’Ali Baba : 6 allées bourrées à craquer de tissus, sous un toit de tôles ondulées qui doivent s’envoler à chaque typhon, nichées dans un coin de rue : le Hawker Bazar. Je l’avais découvert par hasard, il y a 6 ans, et puis j’en avais perdu l’adresse. Et là, dernièrement en faisant mes courses, j’ai reconnu l’endroit. L’extase ! C’est sale, poussiéreux, ça sent mauvais, mais si c’est à ça que ressemble le paradis, je veux bien y aller avec un masque et un tuba ! Mon seul conseil, maîtriser quelques rudiments de la langue locale ou s’armer d’une calculatrice.

 

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Alors, convaincues ? De toute façon, j’irai quand même à l’AEF, l’année prochaine, mais avec un oeil de faucon. On ne videra pas ma bourse en toute impunité ! Et tant pis, si j'ai des Nains ballonnés en rentrant.

 

 

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Elle est plate la galette !

Publié le par Fille Ainée

Il semblerait que contrairement aux idées reçues, le béret soit d’origine béarnaise et non basque. Des sculptures du Moyen Age attestent en effet la présence dans les Pyrénées d'un couvre-chef très proche du béret qui était tricoté, foulé et préparé « à la maison ».

 

A l’origine, c’était l’apanage du berger, un couvre-chef protecteur contre le froid ou la pluie. Le port du béret est un élément d'identité culturelle forte dans le sud-ouest de la France et c’était d’ailleurs sur ce sujet que portait l’article publié par le Holland Herald, un magazine que j’avais eu l’occasion de parcourir pendant un vol sur la compagnie aérienne KLM (jamais plus d’ailleurs !!).

 

La première ou le premier (ne soyons pas sexiste !) à me dire ce qui me fait glousser de rire sur cette photo, parue en tête d’article, recevra un petit cadeau « made by Fille Aînée ». Inutile de préciser que Moutie, Cadette et Grand-Papi sont bien sûr exclus du jeu.

 

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cliquez sur la photo pour accéder au document PDF

 

BON WEEK END !

 

 

Publié dans Trouvailles rigolotes

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Un dîner super parfait !

Publié le par Fille Ainée

L’idée a été lancée par un de nos amis, il y a quelques semaines. Nous étions tous réunis au restaurant et d’un seul coup, c’est sorti :  « Que pensez-vous de faire un dîner presque parfait » ! Monsieur 3xrien qui est un fan de cette émission (en briton bien sûr « Come dine with me ») n’a pas hésité un instant à proposer mes services. Le rat ! Monsieur 3xrien et son estomac sont, voyez-vous, des amis inséparables (c’est fort heureux d’ailleurs).

 

Je me suis prise au jeu et pour être sûre de moi et ne pas empoisonner mes invités, j’ai fait une répétition quelques jours avant. Je ne comprends pas, en effet, les candidats de cette émission qui le jour même préparent une recette pour la première fois. Je ne sais pas mais lorsque la mise est de 1 000 € autant mettre toutes les chances de son côté, non ?

 

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Le thème de notre soirée est français (tiens donc) et le menu consiste en un velouté de courgettes et mousse de lait (trouvé sur le site de la cuisine de Doria ICI), magret de canard servi avec pommes de terre sarladaises, timbale de légumes et medley de poivrons grillés et accompagné d’une petite sauce à l’échalote et Monbazillac (tant qu’à faire !) puis se terminera par une mousse de chocolat blanc/noix de coco et son coulis de framboise (toujours ICI sur le site de Doria).

 

Mes Nains me chargent de vous dire que la mousse au chocolat est à mourir. Comme je n’avais pas de fleur de coco, je l’ai simplement remplacée par de la crème de noix de coco. Le goût est très subtil !

 

Si avec ça, je ne marque pas des points au moins je me serai amusée. Je vous communiquerai les résultats prochainement. Les repas suivants seront coréen et italien. Miam !

 

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Le Nain du milieu a toujours plus d’un tour dans son sac

Publié le par Fille Ainée

Par définition, un cadet est l’enfant qui se situe entre le premier et le dernier. Jusque là pas de problème. Et pourtant ! Chacun sait que la place de l'enfant dans la fratrie peut jouer un rôle déterminant dans la construction de son caractère.

 

Chez nous, ce n'est pas Moyen Nain qui a en quelque sorte "essuyé les plâtres", puisque lorsqu’il est arrivé, nous étions déjà des professionnels de la couche-culotte et du vomi projectile. Nous étions moins angoissés, moins stressés, moins exigeants. Il faut dire que Grand Nain avait déjà bien épuisé nos réserves.

 

Les hypothèses des sociobiologistes américains sont que l'aîné est souvent un défenseur de l'ordre établi, un ennemi acharné du changement. Il a davantage le sens des responsabilités. Ce qui est tout à fait vrai pour Grand Nain. Le cadet qui a dû lutter pour conquérir sa place a naturellement l'esprit ouvert et adhère avec enthousiasme aux idées nouvelles. Chez nous, Moyen Nain est celui qui a souvent la tête dans les nuages, perd facilement ses affaires et se fait le plus de taches au moment des repas. C’est celui à qui il arrive également le plus de m$%&des !

 

Mais attention à ne pas tomber dans un systématisme simpliste.

 

Ce qui est sûr c'est que Grand Nain lui sert de pôle d'identification, il trace la route. Moyen Nain lui colle aux talons du matin au soir et Grand Nain a souvent, malheureusement, bien du mal à s’en défaire. Moyen Nain pense souvent que son aîné a beaucoup de chance, bénéficie de privilèges particuliers comme se coucher plus tard ou recevoir plus d’argent de poche. Et là, le Nain geint.

 

Mon Nain est en position délicate puisqu'il apparaît dans certaines études qu'il est peut-être celui à qui nous accordons le moins de temps et d'attention. Et c’est sans doute vrai puisque je travaillais à temps plein (j’ai manqué les premiers pas de ma crevette) et que je rentrais souvent si tard le soir que je n’avais que le temps de lui donner son biberon avant de le coucher. De là, a vite découlé la culpabilité de la mère qui travaille et depuis Moyen Nain ne fait qu’inconsciemment me le reprocher. Depuis, je travaille à la maison.

 

Alors, j’ai voulu me rattraper et je lui ai fait, en une après-midi, le sac qu’il me réclamait depuis longtemps (pour faire comme Grand Nain). Mon Nain a choisi, lui même, ses couleurs (légèrement influencé par une pauv’e mere coupable) et voilà le résultat. Par contre, j’aime tellement mon ouvrage (sans pour autant me donner des coups de pied) que si ce sac venait, par la pure des coïncidences, à traîner trop longtemps dans un placard, je me ferais un plaisir de l’adopter !

 

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Le modèle est tiré de ce livre (ma bible). ISBN978-4-391-62767-1. Je deviens une adepte de la lecture de droite à gauche et des petits dessins nippons !

 

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Ce n'est qu'une question de sous

Publié le par Fille Ainée

J’avais acheté deux petits porte-monnaie l’hiver dernier. Un pour Moyen Nain qui réclamait à corps et à cris de quoi ranger ses économies, et un pour moi parce que j’aimais beaucoup les couleurs. J’ai voulu les personnaliser et voilà ce que ça donne :

 

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Celui de Moyen Nain. Le motif « petite maison » vient du livret « violet » du coffret « Couleurs au point de croix » de chez Mango Pratique,

 

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et le mien. J’aime beaucoup la bouille de ce petit ange trouvé chez Les Petites Croix de Fred. Allez voir dans sa catégorie « cadeaux », celle-ci regorge de délicieuses grilles.

 

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Publié dans Petites croix

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Petit clin d’œil de la semaine

Publié le par Fille Ainée

Je ne peux résister au plaisir de vous faire partager un extrait de mon livre du moment : « L’élégance du Hérisson ». Soyez indulgent(e) avec moi mais je ne peux pas m’en empêcher.  Et surtout pardonnez-moi si vous êtes l’heureux propriétaire d’un roquet caniche. Je ne fais que rapporter les paroles de Muriel Barbéry !

 

« Comme chacun sait, les caniches sont des genres de chiens frisés détenus par des retraités poujadistes, des dames très seules qui font un report d’affection ou des concierges d’immeubles tapis dans leurs loges obscures. Ils peuvent être noirs ou abricot. Les abricots sont plus teigneux que les noirs, qui sentent moins bon. Tous les caniches aboient hargneusement à la moindre occasion mais spécialement quand il ne se passe rien. Ils suivent leurs maîtres en trottinant sur quatre pattes figées sans bouger le reste de leur petit tronc de saucisse. Surtout, ils ont des petits yeux noirs et fielleux, enfoncés dans des orbites insignifiantes. Les caniches sont laids et bêtes, soumis et vantards. Ce sont les caniches ».

 

Lorsque j’étais étudiante à Paris, j’habitais dans un foyer de jeunes filles, une ancienne maison de maître. C’est d’ailleurs là que j’ai rencontré Grande Copine Parisienne. La pauvre n’avait pas de chance, sa chambre donnait sur la cour et systématiquement tous les matins vers 6 heures, le roquet de la concierge aboyait à plein poumons.

 

Combien de fois avons-nous eu, GCP et moi-même, envie de balancer un coup de pied stratégiquement placé à l’horrible bestiole ! En plus la sale bête était d’une laideur ! Mais la concierge en était absolument gaga. C’est prouvé, l’amour est aveugle !

 

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Ug, le chien le plus laid d'Angleterre

 

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 Toutou à sa mémère (photo prise dans un parc à Tokyo) 

 

 

Publié dans Au fil des pages

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Le Kitch américain ou comment perdre sa chemise en une après-midi

Publié le par Fille Ainée

Comme je vous l’avais annoncé, nous avons passé la journée de samedi à Macao, le temple des machines à sous et des tables de black-jack. Je ne suis pas joueuse mais j’avoue que quelques fois, je me laisse emporter par l’ivresse du jeu sans pour autant perdre la tête. Mais pas cette fois-ci. Les salles de jeu sont en effet interdites aux Nains. Nous nous sommes donc contentés d’explorer le casino après avoir assisté au spectacle du Cirque du Soleil. Un spectacle magnifique devant lequel Petit Nain n’a pas fermé la bouche un instant. Il est vrai que c’était absolument magnifique et nous en sommes ressortis avec l’envie de voler à travers les airs, de jongler avec le feu et de nous contorsionner comme si nous étions fait de caoutchouc.

 

The Venitian c’est tout d’abord une surface équivalente à 56 terrains de football américains et qui pourrait abriter 100 jumbo jets 747. A l’intérieur, ce n’est que de l’or (3 millions de feuilles d’or) et ça commence même à l’extérieur, sous le hall d’arrivée des voitures :

 

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Tous les plafonds sont peints ; on se croirait dans la chapelle Sixtine. Sauf qu’en Italie, il n’y a sûrement pas de spots pour les éclairer !

 

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C’est un véritable dédale de boutiques (330 au total) et si on voulait toutes les visiter, ne serait-ce qu’y passer 5 mn, il faudrait 29 heures ! Ca c'est ce qui s'appelle faire du shopping !

 

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The Venetian a trois canaux sur lesquels circulent 51 gondoles (piège à touristes) manœuvrées par des gondoliers qui poussent la chansonnette toutes les 5mn. On s’y croirait ! 

 

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Sauf que ce ballon à l’hélium collé au plafond ruine un peu l’illusion ! 

 

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Les tables de jeux sont au rez-de chaussée au milieu d’une abondance de distributeurs automatiques de billets. Au cas où !

 

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A l’extérieur, pas grand chose à dire.

 

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Et puis le temps maussade ne contribuait pas vraiment à embellir cet hôtel/casino. Des hauts parleurs diffusent du Vivaldi à tue tête (serait-ce pour nous convaincre que nous sommes quand même un peu en Italie ?), mais l’immense immeuble de chambres d’hôtel derrière la façade simili rital, nous rappelle quand même le but premier du bâtiment : faire le plus d’argent possible sur le dos des masses populaires. Très peu pour moi ! Tant qu’à faire, je préfère sauter dans l’avion et aller voir le produit original. D’ailleurs Monsieur 3xrien a fait l’erreur de le suggérer et je ne lui laisserai pas le temps de l’oublier.

 

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Et en face, le reste des casinos qui poussent comme des champignons. Restera t-il encore assez d’argent dans les poches des champions de la roulette pour alimenter les caisses de tous ces établissements ?

 

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Nous sommes ensuite allés dîner dans un petit restaurant portugais qui ne paye pas de mine mais dont la salade de tomate et le poulet grillé m’ont toujours laissé un souvenir impérissable. Et quel contraste avec le luxe ostentatoire des heures précédentes !

 

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Je ne sais pas si cela vient de la saveur des tomates, de leur couleur, de l’huile d’olive ou des oignons mais il a fallu se battre avec Petit Nain pour arriver à y goûter ! 

 

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Pour conclure cette merveilleuse journée, nous avons emmené les Nains voir le centre ville, toujours illuminé par les décorations du Nouvel An chinois. C’était féerique.

 

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Les petites rues bondées de monde malgré l’heure tardive, le charme des façades traditionnelles des maisons.

 

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Et puis un peu plus loin la façade de l’église Saint Paul, qui comme un décor de cinéma, se dresse en haut des marches. Il ne reste plus que ces ruines de cet ancien collège jésuite construit en 1580. Le reste du bâtiment a disparu dans les flammes en 1835.

 

Et toujours dans le lointain, le rappel à l’ordre : le Grand Lisboa qui avant l’arrivée du Venitian était le complexe casino le plus grand de l’île. Il a l’air maintenant bien démodé à côté de ses compatriotes.

 

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Et enfin, pour rentrer, nous avons pris les petites rues pavées pour nous diriger vers l’embarcadère. Pas un chuchotement dans le ferry du retour. Pas de Nain alerte et papillonnant. Il faut dire qu’il était bien tard et que la perspective d’un lit douillet et chaud donnait sommeil à plus d’un. 

 

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