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La brolliologie

Publié le par Fille Ainée

Abordons aujourd’hui le sujet de la « brolliology ». C’est ainsi que les Britons appellent la science des parapluies. Pourquoi brolliology ? Ce terme est dérivé du mot « brolly », raccourci pour exprimer « umbrella ». Cette science couvre également le parasol puisqu’il est en fait l’ancêtre du parapluie. Pendant des milliers d’années, on s’est protégé du soleil mais ce n’est que récemment que l’on se protège de la pluie.

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Si vous pensez que le parapluie à baleines repliable est l’invention d’un Anglais du 18eme siècle qui en avait ras le bol de se faire tremper sous les averses locales et bien vous vous trompez ! Le fait est que le parapluie est un des accessoires le plus anciens de l’histoire de l’homme et que je soupçonne même le néandertalien moyen de l’avoir inventé en s’abritant sous une feuille qui prenait l’eau.

Le parapluie est tellement vieux que les brolliologists ne peuvent se mettre d’accord sur son âge. La mythologie égyptienne considérait le ciel comme le ventre d’un dieu qui s’étendait d’une extrémité de la terre à l’autre (un dieu pantagruélique en quelque sorte !) comme un immense parapluie.  De ce fait, les prêtres et les pharaons étaient souvent représentés s’abritant sous un parapluie pour symboliser le pouvoir royal et religieux.

Pour les Grecs, le parapluie était un symbole de productivité et d’agression sexuelle mais là, il faudra m’expliquer pourquoi. Je ne vois pas comment le parapluie à deux sous de l’épicerie du coin peut représenter une telle arme à moins que les Grecs n'aient eu des parapluies de forme particulièrement phallique !   

Chez les romains, le parapluie était plutôt un accessoire féminin jugé trop peu masculin par les mâles de l’époque ! Et lorsque ces dames assistaient aux courses de chars et bloquaient la vue de ces messieurs, vous imaginez l’ambiance dans les gradins ! Imaginez un match de foot où pompés à bloc par des testostérones vaseuses et imbibés de bière, les mâles excités manquent le but de l’année parce que la seule nana du groupe décide de s’abriter de la pluie !! De la charpie !

Au 15eme siècle, les marins portugais s’y mettent et dès qu’ils débarquent sur une île pour la conquérir ils ouvrent un parapluie au-dessus de la tête du capitaine pour bien montrer qui commande. Comme une grosse flèche au-dessus de la tête du Big Boss !

Mais il faut quand même reconnaître que c’est un briton qui popularise l’engin. C’est en effet John Hanway, qui au 17eme siècle amène du Portugal le parapluie en Angleterre.  Les britons n’ont jamais vu ça et se moquent de lui lorsqu’il déambule dans les rues de Londres. Les conducteurs de taxi de l’époque ne l’aiment guère car ils craignent une perte de business.

Les Londoniens religieux contestent ce parapluie en objectant qu’après tout le but de la pluie est de mouiller les gens et qu’il ne faut pas s’opposer à l’ordre naturel des choses. Mais très vite les Londoniens adoptent cet accessoire diabolique ! Parce que je ne sais pas si vous avez déjà eu un parapluie qui refuse de se fermer au moment ou vous rentrez dans une boutique, qui s’ouvre en pleine figure et vous éclabousse de la tête aux pieds, qui fuit, qui se retourne au moindre coup de vent… Bref la liste et longue et je soupçonne la bête d’avoir quelques fois des intentions rageuses.

De nos jours, la majorité des parapluies sont fabriqués à Hong Kong, au Japon et en Chine. Les fabricants de parapluies modernes affirment que les modèles actuels sont de telle qualité qu’une personne moyenne n’en possèdera pas plus de 2 dans sa vie. C'est sans compter le phénomène du parapluie oublié dans une boutique ou celui qui se casse dès les premières pluies. Et pour vous dire que je ne suis pas la seule à qui ça arrive, il faut savoir que près de 75,000 parapluies sont perdus dans les transports en communs chaque année.

Quant au nombre de vols de parapluies, ça, je vous laisse deviner. Petite anecdote dans un pub où un petit mot avait été épinglé sur un parapluie et qui lisait: « ce parapluie appartient à un boxeur et il revient dans 2 minutes ». Au retour du dit boxeur le parapluie avait disparu et à sa place, se trouvait un autre petit mot : « ce parapluie a été pris par le champion de course d’Angleterre et il ne reviendra jamais ».

Publié dans SKOW

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Et c’est reparti pour le suivant

Publié le par Fille Ainée

Ma Jumelle voulait faire de l’appliqué pour changer. Son Farmer’s Wife s’achève bientôt et l’envie de reprendre les petits points invisibles l’a soudainement prise. Sauf que, la bougresse, cette fois-ci elle triche !

 

« My favorite Things «  tiré de « Some kind of wonderful » (Anni Downs) m’a t-elle proposé. Et moi, toujours partante, confiante de nature, j’ai dit oui. Sauf que, vous verrez bientôt sur son blog pourquoi elle m’a joué un mauvais tour !

 

Cette fois-ci, nous n’entraînerons pas Chipie dans l’aventure car elle a déjà fait ce quilt mais je suis certaine qu’elle sera là pour nous encourager et nous soutenir moralement. Enfin, moi surtout. Parce que la Jumelle…

 

Voici donc mon premier bloc : Patty Cakes

 

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Que sont des patty cakes ? Ce sont des pâtisseries qui maintenant sont appelées des cupcakes tout simplement. Mais les patty cakes, c’est aussi une comptine qui se chante entre deux enfants en se tapant dans les mains en allant de plus en plus vite. Petit Nain est expert es « patty cakes ». Moi, il y a longtemps que j’ai lâché le rythme !

 

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Si vous voulez vous entraîner, voici une vidéo.

 

 

 Ma Jumelle, j'aurai terminé la première colonne la semaine prochaine. Promis, craché, juré. Toi aussi ? 

 


 

Publié dans SKOW

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Fin d'une Saga !

Publié le par Fille Ainée

Bloquée avant la ligne d’arrivée, cela faisait un bout de temps que ma Saga Familiale était au fond du tiroir en attendant l’inspiration. Pas envie de suivre le modèle, l’arbre généalogique proposé pour le dernier bloc ne me tentait guère. Et un jour… en papotant avec ma Jumelle, la voilà qui me montre son nouveau projet (alors qu’elle n’a toujours pas terminé les autres, hein !) : « My Town » d’Anni Downs. La même Anni, créatrice de ma Saga !

 

J’ai suivi le lien et là miracle… le bloc idéal pour terminer mon ouvrage m'a fait de l’œil. Bon, j’avoue que je n’avais pas le modèle original et que c’est mon imprimante qui a fait le boulot à ma place, mais me pardonnerez-vous ?

 

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Fini en deux jours alors que cela fait plus de deux mois que ma Saga patiente ! Ca valait le coup, non ?

 

Pourquoi « Mama’s Café » ? Et bien figurez-vous que c’est un peu mon rêve d’ouvrir, non pas un bar-tabac, mais un petit salon de thé dans lequel on pourrait venir se prélasser dans des fauteuils confortables, déguster une tasse de thé exotique et dévorer une part de gâteau. On pourrait également y venir simplement pour tricoter, coudre, quilter ou demander un conseil.

 

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A côté de ce salon de thé, j’y vois bien une petite boutique pleine de tissus et d’accessoires de couture. Sans oublier bien sûr des cours divers pour débutantes ou quilteuses confirmées.

 

Monsieur 3xrien m’encourage - je le soupçonne d’y voir là une retraite anticipée - et va même jusqu'à se porter volontaire pour servir les clientes (sans petit tablier malheureusement !), mais je ne pense pas que la Malaisie se prête beaucoup à ce genre de boutique. Qui sait, un jour peut-être !

 

Ce dernier bloc a donc rejoint les autres et il ne me reste plus qu’à quilter l’ensemble. Je me suis dit que toutes ces bandes se prêteraient fort bien à un quilting machine (ce qui va à l’encontre de mes principes) et que c’était l’occasion idéale d’apprendre...

 

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Publié dans Patchwork

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Roadkill

Publié le par Fille Ainée

Expression tout à fait britonne qui en fait dénonce les animaux tués sur les routes par les voitures. En Angleterre, ce sont plutôt les blaireaux, en Australie, les kangourous et en France, les hérissons. Chacun sa faune locale !

 

Moi, celui-là, je l’ai trouvé dans mon bac à feutrine,

 

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mais il est né ICI.

 

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Publié dans Pique pique aiguille

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En plein coeur de la ville

Publié le par Fille Ainée

Niché au pied des tours Petronas, en plein centre ville, se trouve Kampung Baru (« nouveau village » en bahasa). Sauf que ce quartier n’a plus rien de nouveau. C’est littéralement un survivant du bulldozer qui a rasé le reste de la ville pour faire place à des bureaux et centres commerciaux.

Dans les années 1880, les Britons occupant Malaya décident de déplacer ces agriculteurs qui les gênent. Et sous prétexte de leur donner un endroit bien à eux où ils pourront s'autogérer (les écartant ainsi des affaires coloniales), ils leurs attribuent cette parcelle. C’est ainsi que Kampung Baru est né et qu'il est devenu depuis une amalgamation de sept villages sur plus de 120 hectares, en plein cœur de la ville. 

Les règles étaient très claires à l’époque : les parcelles de Kampung Baru ne pouvaient être possédées que par des Malais. Et c’est toujours le cas aujourd’hui.

 

De quartier rural, Kampung Baru est vite devenu au 20eme siècle un centre intellectuel et un foyer d'opposition politique malais, théâtre de manifestations pour l'indépendance après guerre et lors des émeutes du 13 mai 1969.

 

Lorsque l’on pénètre dans Kampung Baru, on se trouve vraiment transporté ailleurs.

 

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Ce quartier à faible densité de population est une bouffée d’air frais. Enfin, remarque totalement métaphorique vu que depuis quelques temps nous sommes empoisonnés par les fumées venant d’Indonésie. 

Kampung Baru est à présent devenu le symbole de l’héritage malais et de la tradition.

 

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La plupart des maisons en bois ont des jardins dans lesquels poussent frangipaniers, cocotiers et bananiers alors que dans le lointain on aperçoit des immeubles modernes et le bitume des voies express.

 

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L’architecture des maisons est traditionnelle et bien que certaines aient été très bien conservées par leurs propriétaires, d’autres tombent en désuétude.

 

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C’est ce qui pousse aujourd’hui le gouvernement à prendre action. Il est régulièrement question de redéveloppement pour faire place à des centres commerciaux mais les habitants se battent férocement pour préserver leur village. Et on les comprend. Pas folle la guêpe !

 

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Les vitraux de Dodoh

Publié le par Fille Ainée

Aujourd’hui, je ne vous parle pas de moi mais de Dodoh et de ses vitraux. Et là chapeau !

 

Jeudi dernier, je vous vantais les mérites de mon appareil métallique à faire des biais et à ce sujet, Dodoh m’avait écrit en me vantant les mérites du sien en plastique. Sauf que le sien, c’était celui que je n’avais pas choisi car il coûtait 2 fois plus cher que le mien. Mais, je dois reconnaître qu’un Clover qui non seulement fait un biais magnifique et en plus y rajoute une bande thermocollante pour vous faciliter la tâche au moment de la pose, y a pas photo ! Il va donc falloir que j’étudie la question sérieusement et casse ma tirelire.

 

Pour illustrer sa campagne marketing pour Clover, Dodoh m’a alors envoyé des photos du vitrail qu’elle avait réalisé avec son appareil à biais. Et là, j’en suis restée carrément baba ! Du coup, mon enthousiasme pour ma tige verte a laissé place à une grande humilité. Il faisait plutôt pipi d’chat mon biais à côté du sien ! Je vous laisse constater :

 

Avant la pose du biais :

 

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Après la pose du biais :

 

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Je lui ai donc demandé de me raconter la naissance de ce vitrail et je laisse la parole à Dodoh :

 

« Eh bien, l'envie de faire un vitrail me titillait depuis longtemps... j'ai écumé le net pour trouver l'inspiration et je suis tombée sur les vitraux de l'église St Hilaire de Halluin. J'ai réussi à tous les récupérer sur les images du web à une taille confortable.

 

Après avoir dessiné sur calque la position des baguettes de plomb, j'ai agrandi à la taille d'une porte (évidemment il a fallu supprimer tous les montants en pierre, bref simplifier.). Ensuite restait plus qu'à !

 

Avec un patron de la taille du patch, découper les parties (toutes numérotées évidemment selon des secteurs), choisir le bon batik pour garder luminosité et nuances et placer chaque morceau sur une toile de fond provisoire.

 

Quand tous les morceaux ont été découpés, placés, regardés d'un œil critique, changés au besoin, je les ai collé (bien bord à bord) sur le fond définitif (toile de fond blanche+léger molleton (type nuage) enduit de  505. faut pas que ça bouge !).

 

Il n'est plus resté qu'à fabriquer des mètres de biais dans un tissu noir. Comme ils sont posés un peu comme un celtique, je n'ai pas fait de coutures (les jointures sont sous les biais qui croisent).

 

Et là merci Clover avec son outil magique ICI où tu peux enfiler tes bandes de tissu et en même temps ton ruban collant. C'est un peu onéreux mais pour une telle quantité de biais, ça vaut le coup ; le biais étant relativement étroit, il ne faut pas que ça bouge sinon ton morceau (tissu) "de verre" ressort lamentablement.

 

Comme je suis une grande malade du travail machine, je les ai cousu avec ma Bernina. »

 

Zavez vu ça un peu ? Moi, je m'incline !

 


Publié dans L'Atelier des Copines

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Deauville no more !

Publié le par Fille Ainée

Deauville, Cape Cod, vous sentez l’air du large vous fouetter le visage ? Vous entendez le cri des mouettes ? Ca y’est vous êtes en vacances !

 

Voici ma version du bloc 7 du Quilt Mystère de Roxane. N’y cherchez aucune ressemblance avec l’original, il n’y en a pas.

 

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Déjà, le bloc 6 m’avait un peu laissée sur ma faim et c’était pour cela que j’avais transformé les cabines de plage de Roxane en cabane de surf. J’avais quitté Deauville, fait la traversée et j’étais enfin sur le continent américain.

 

Vous allez me demander pourquoi un tel changement ? Et bien cette plage déserte de Roxane m’a déprimée. Où sont les vacanciers ? Pourquoi un tel manque de vie ? Même les grains de sable ont l’air penaud. On se croirait en fin de saison, à quelques jours de la rentrée.

 

Sur ma plage à moi, il y a cette maison très colorée. Nous sommes en fin d’après-midi, les Nains surfeurs sont rentrés de leur journée, les serviettes sèchent dehors et Petit Nain a laissé traîner ses tongs en bas des escaliers, comme d'hab.

 

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Derrière la maison, on peut apercevoir les parasols de Roxane et Monsieur 3xrien profite d’un dernier coup de vent pour faire voler son cerf-volant !

 

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Vous me trouverez sur la terrasse sirotant un cocktail. Le barbecue a été mis en route, ce soir c’est grillades !

 

Si ce bloc vous tente, je ne le revendique pas car il appartient à Kaye Wood, une créatrice américaine. Il fait partie d’une collection appelée « Holiday House ». Vous trouverez son patron ICI.

 

 

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Vive la pluie !

Publié le par Fille Ainée

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Publié dans Tranches de vie

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Coussins mortuaires

Publié le par Fille Ainée

C’est encore sur Pinterest, site de perdition, que j’ai trouvé ces pincushions à rajouter à ma collection.

 

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Mon sens de l’humour macabre n’a pu résister à cette épitaphe « parti(e)… enfin ». S’agit-il d’une épouse éplorée ou d'un mari ravi de cette disparition ? Nul ne le saura jamais !

 

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Les grilles de ces pincushions sont disponibles ICI pour un tout petit prix. N’hésitez pas à « feuilleter » le blog de La Soffitta, il est rempli de petits trésors primitifs.

 


Publié dans Pique pique aiguille

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Revanche guerrière

Publié le par Fille Ainée

Mais quelle bande de médisantes alors ! Douter de mon top, m’accuser de ne pas l’avoir terminé, me reprocher d’en parler sans rien montrer ! Et bien si, je l’ai terminé ce top du Civil War. Et non seulement, mes blocs sont assemblés, mais le sashing est terminé et j’en suis à l’appliqué des bordures. Et là c’est la grande éclate !

 

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J’ai aimé, que dis-je, j’ai adoré me prélasser dans la tige à n’en plus finir et dans la feuille à répétition. Pour atteindre l’extase ultime, je me suis achetée un petit gadget pour faire mon biais de tige. Je ne suis d’habitude pas en faveur de ce genre de choses (nos ancêtres cousaient bien de magnifiques quilts avec peu de moyens, non ?) et j ‘ai écrit plusieurs articles pour me gausser des innovations de certaines merceries, mais là ce gadget me titillait. Si vous ne voyez pas de quoi je veux parler, allez voir ICI chez 1000 & 1 choses, elle explique très bien le principe. Seulement, j'aimerais savoir quel est l'imbécile le génie qui a inventé ça en métal parce qu'on s'y brûle les doigts parfois. Ben oui, le metal conduit la chaleur !

 

Il a fallu que j’aille d’abord voir sur TonTube comment couper mon tissu en biais sans en gaspiller. Et j’ai trouvé une méthode plutôt sympa avec laquelle on n'a pas besoin de tracer des traits :

 

 

C’est en briton mais la vidéo est simple à comprendre. La première partie vous explique comment calculer la longueur de biais nécessaire pour faire le tour de votre quilt.

 

Ensuite, il a fallu que je joigne toutes ces bandes sans m’énerver. Tontube à la rescousse (toujours en briton) :

 

 

Attention, la premiere partie vous explique ce qu’il ne faut PAS faire. Ne vous jetez pas sur votre machine avant d’avoir tout regardé.

 

Après, il ne restait plus qu’à poser. Petite confession, j’ai également acheté des épingles toutes petites pour pouvoir maintenir mon biais en place. Certaines, dont je tairais le nom, encollent, moi pas ! Ces épingles font la moitié de la taille des épingles normales et sont très pratiques quand il s’agit de fixer des petites pièces à appliquer.

 

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Comme par magie, mon biais a suivi tout seul les courbes de ma tige. En une après-midi, tout était terminé.

 

Il ne me reste maintenant plus qu’à finir de poser toutes ces petites feuilles.

 

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Publié dans Civil War Diary Quilt

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