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L’essayer c’est l’adopter : la Cranemou Story

Publié le par Fille Ainée

Si le cœur vous en dit, s’il pleut ce week-end et si vous avez envie de fuir Belle-Maman venue s’incruster sur votre canapé, je vous recommande une petite lecture blogesque.

 

Je ne sais pas comment je suis tombée sur son blog – les mystères du Net ne cesseront jamais de m’épater – mais dès que j’en ai commencé la lecture, je me suis vite retrouvée addictée comme on dit chez nous (mais ne cherchez pas pour autant, ça n’existe pas).

 

La Cranemou Story c’est le blog d’une maman de deux Nains qui s’amuse des petits riens de son quotidien et qui, sans se prendre au sérieux, relate dans un fouillis incroyable (c’est pas moi qui le dit mais elle) ses humeurs et ses coups de cœur – le plus récent pour le catalogue Ikea.

 

Si vous voulez la suivre dans ses aventures, cliquez ICI. Je vous assure le fou rire garanti et une sacrée antidote contre la morosité de l’automne.

 

Quant à moi, il est pas prêt d’arriver l’automne !

 

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Publié dans Trouvailles rigolotes

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Dis Chéri, c’est toi qui fait bouger mon lit ?

Publié le par Fille Ainée

« Ben Mama, t’es encore au lit ? ». Sympa le Nain, aucune pitié pour sa p’ove mère verdâtre ! Il est toutefois vrai que je viens de passer la plus grande partie de la journée au lit. C’est pas ma faute, c’est celle de Nesat.

 

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Ce typhon nous est tombé dessus hier et il avancait à grande vitesse. T1 hier après-midi quand j’étais avec Petit Nain à la piscine, T3 à 17h quand nous avons dû rentrer en courant sous des trombes d’eau (Petit Nain s’en moquait, il était déjà mouillé !) et T8 ce matin au lever.

 

D’ailleurs, j’aurais apprécié que quelqu’un me le dise plus tôt. Au lieu de cela, il a fallu que je me lève pour mettre ma grenouille dehors consulter Internet et découvrir que toutes les écoles étaient fermées. Grand et Moyen Nains étaient déjà prêts, en uniforme, et j’ai fait déshabiller tout le monde. Par contre, impossible de se rendormir. J’avais bien envie de rendre mon petit-déjeuner aux poissons d’ailleurs.

 

Alors, j’ai choisi l’option « reste au lit ma fille » et j’ai lu d’une traite Elle s’appelait Sarah de Tatiana de Rosnay. Magnifique ! Je suis certaine que vous l’avez déjà toutes/tous lu – j’arrive toujours bonne dernière – j’éviterai donc de vous en faire un résumé long et pénible mais 400 pages en une matinée, c’est vous dire si ce bouquin était bien et combien j’avais l’air glauque. 

 

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Publié dans Au fil des pages

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La bande à Hallo

Publié le par Fille Ainée

Vous les avez vu ces trois là ? On me dit qu’ils font partie d’une clique de 12 et qu’ils prévoient un coup pour la fin du mois d’octobre. Gardez l’œil ouvert !

 

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Publié dans Patchwork

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Depuis quand les hommes écrivent-ils des livres de femmes ?

Publié le par Fille Ainée

Par principe, je ne lis jamais les livres écrit par des auteurs « alimentaires ». Par « alimentaire », j’entends des auteurs qui écrivent à la chaîne en vue de remplir leur réfrigérateur. J’aime les livres écrit avec les tripes, des livres à émotions, des livres qui ont pris des années à être écrits/publiés/reconnus. Alors les Musso, Lévy et autres, passez votre chemin.

 

Et puis, toujours au cours de ce grand ménage de printemps qui m’a possédé le week-end dernier, voilà que je tombe sur un livre de Douglas Kennedy « Une relation dangereuse ». Je ne sais pas d’où il vient, qui me l’a glissé dans ma bibliothèque mais s’il avait été en version française, je ne l’aurais même pas regardé avec un titre pareil !

 

Comme je suis curieuse de nature et que je pars du principe qu’on ne doit jamais juger sans connaître (et que Moutie raffole de cet auteur !), j’ai daigné y jeter un coup d’œil.

 

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D’abord j’ai trouvé bizarre qu’un homme écrivain puisse se glisser dans la peau d’une femme – c’est Sally, le caractère principal qui narre l’histoire – et puisse comprendre les états d’âmes non seulement d’une femme mais en plus d’une mère.  A mon avis, son épouse a dû passer pas mal de temps à lui corriger son bouquin avant qu’il soit publié ! Que sait-il de la grossesse, de la dépression postnatale ? C’est comme mon obstétricien mâle qui me disait « mais Madame, ça ne fait pas mal ». Ben si ça fait vachement mal pardi ! (j’me souviendrais toujours de lui. Il portait des nœuds papillon pour nos rendez-vous et des bottes de poissonnier blanches le jour de mes accouchements – au cas où ça glisserait par terre !).

 

J’avoue que j’ai trouvé les 130 premiers pages plutôt laborieuses et sans intérêt. Visiblement Monsieur Douglas a un problème avec les poves Britons et ne cesse de les dénigrer au fil des pages. J’ai trouvé ses premières remarques amusantes et puis je m’en suis lassée. Je ne sais pas ce qu’ils lui ont fait mais ça frisait l’insolence, voir la vulgarité Yankee. 

 

Bon, mon point culminant de ces quelques 130 et quelques pages (mon édition en compte plus de 500) a été l’épisode de la césarienne. Et là, j’ai sauté d’indignation lorsque j’ai lu que l’héroïne de Douglas, juste après l’opération, s’endort dans la position du fœtus ! Alors là, j’ai du mal à y croire. Et croyez-moi, c’est du vécu (cadeau de Petit Nain). Au sortir d’une opération comme celle-ci, la dernière chose que vous voulez faire c’est ramener vos jambes sur cette grosse cicatrice que vous a gracieusement offert Monsieur le chirurgien. Je crois bien avoir passé les 2 premières nuits, allongée comme un mollusque, sur le dos, sans bouger les jambes et je dormais dans l’état !

 

Et puis quand, il s’est mis à aborder le sujet des glandes mammaires engorgées, j’ai lâché prise ! Là franchement, il se moque de moi le Kennedy. Son héroïne donne son lait au nouveau-né dès la naissance de ce dernier. Euh, lait quel lait ?? Il est au courant cet homme que le lait maternel met quelques jours avant de monter ? On n’est pas des vaches laitières dès le début, nous !

 

Alors voilà pourquoi je ne serais jamais en mesure de vous raconter la fin de l’histoire. D’une, je m’ennuie sérieux au bout des quelques premiers chapitres, et de deux, c’est bourré d’incohérences. Peut-être qu’avec un peu de chance, le Douglas Kennedy, auteur alimentaire, diplômé es grossesse et glandes mammaires, se réincarnera un jour en femme et relisant ses ouvrages de vies passées, réalisera ses grosses bêtises. Ce jour-là, peut-être relirais-je la copie révisée et encore, j’en doute !

 

 

PS : et pour toutes celles qui me lisent et non pas encore eu de Nains, ne lisez surtout pas cet ouvrage, il réussirait à vous en dégoûter !

 


Publié dans Au fil des pages

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Quand la P’tite Pomme rend fou !

Publié le par Fille Ainée

Ce matin 9h, ouverture officielle du premier magasin Apple de mon île chaude et humide : 172 m2 de gadgets.

 

La queue s’était déjà formée devant les portes quand je suis passée hier matin. Ces gens ont dû dormir dans le centre commercial pour être certains d’être servis les premiers. C’est fou, non ?

 

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Moi, je vais sagement attendre que la foule disparaisse (si, un jour) et j’irai traîner mes guêtres avec les Nains pour jouer avec les modèles d’expos comme si on était au musée des sciences ! Ça les amusera pendant les vacances scolaires. En attendant, moi j’ai bien dormi dans mon lit !!

 

Bon week-end !

 


Publié dans Trouvailles rigolotes

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Faire sa fête à sa conscience

Publié le par Fille Ainée

C’est en faisant un grand ménage de printemps que j’ai eu le malheur la chance de faire une pause prolongée dans mon placard à idées. La tête dans mes bouquins, allongée sur mes gros coussins, me voilà à feuilleter des magazines oubliés, des livres regorgeant d’ouvrages que je pourrais faire, aurais pu faire ou ferais un jour. Et là ma conscience me dit « mais Fille Aînée, est-ce bien raisonnable de commencer ENCORE un autre ouvrage alors que tu en as des tonnes qui attendent des finitions ? ». Je ne sais pas ce qui m’a prise, je l’ai fait taire cette saleté de conscience. Je lui ai dit de s’occuper de ses affaires et d’aller jouer ailleurs. Et voilà le résultat :

 

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Tiré de "L’Atelier couture de Lucie" et modifié pour correspondre à mes envies de broder plus que de rêver (selon modèle d'origine), j’ai ensuite monté ce tableau sur du lin pour en faire mon sac de brodeuse, celui avec lequel j’arpenterai bientôt les allées noires de monde du salon de l’Aiguille en Fête. Comme ça, vous me reconnaîtrez tout de suite et c’est en groupe que nous irons nous agglutiner devant les stands, jacasser comme des pies et marcher sur les pieds des autres (pour une fois que ce ne seront pas les miens !).

 

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Pour que le dos de mon sac ne se sente pas négligé, je me suis inspirée des fleurs qui figuraient sur un autre ouvrage de ce livre et le bouton qui me sert à fermer mon sac est tiré, lui, de "Brodez avec amour" de Mandy Shaw.

 

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Je voudrais d’ailleurs, au sujet de ce livre, en profiter pour ouvrir une petite parenthèse au sujet d’une personne sûrement bien intentionnée sur le Net qui brode, avec beaucoup de talent certes, de très jolis ouvrages qu’elle trouve dans des livres de broderie et autres, comme celui dont je viens de parler. Jusqu'à là pas de problème, mais ce qui me gêne le plus c’est que cette personne vend - cher et sans numéro de SIRET - ces ouvrages sur son blog.

 

Qu’on s’en inspire et qu’on les mette à sa sauce, certes, nous le faisons toutes et moi la première, mais qu’on copie ces modèles à la lettre (et à la couleur) et qu’on les mette en vente en vue de générer un profit, là ça me choque car je doute que les propriétaires des modèles exploités soient au courant et qu'un pourcentage sur les ventes leur soit reversé. On se souviendra toutes de l’événement « Du blanc pour Haïti » pour lequel des petites mains avaient demandé la permission à des créatrices de réaliser leurs ouvrages en vue de les vendre pour cette association caritative. Permission qui leur avait été accordée. Je doute qu’il en soit de même ici.

 

Je ne donne pas le nom de cette personne, mais dégoûtée par ces pratiques peu honnêtes, j’ai préféré me désinscrire du blog en question. Peut-être, elle, n’a t-elle aucun problème avec sa conscience. Moi si !

 

J’arrête là mon blabla et je ferme ce coup de gueule cette parenthèse. Si l’une/l’un de vous est plus informé que moi sur la légalité de cette affaire, je suis toute ouïe !

 

 

PS: Mon sac n'est PAS à vendre !

 


Publié dans Broderie en folie

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« D’abord, ils ont tué mon père »

Publié le par Fille Ainée

Non, je n’ai pas disparu sous le pied d’un chameau, je suis bien là, mais ce retour à la réalité me péniblise. La mondanité des taches ménagères me sied guère et j’ai surtout du mal à revenir à mes moutons araignées XXL !  

 

Mais bon, vous commencez à me connaître, ce n’est quand même pas parce que j’vous cause plus que je suis restée inactive.

 

Tout d’abord, je tiens à partager avec vous ma toute dernière lecture, influencée bien sûr par ma toute dernière destination de voyage.

 

Quand vous visitez les temples d’Angkor, il y a toujours un petit marchand de souvenirs au coin d’une allée qui vous propose des éventails, des cartes postales ou encore de la littérature. J’ai passé plusieurs jours à l’éviter, lui et ses collègues, mais au bout du 4 eme, amusée par la persévérance de ces petits revendeurs de merdouilles, je me suis arrêtée. Il vendait des livres. D’office, il me propose ceux en anglais mais mon sens de la revendication de mes origines surtout quand je suis à l’étranger me pousse à consulter sa sélection française. Et là, avec le plus beau des sourires, il se lance dans une longue prose galloise. Magnifique !

 

Nous avons passé un bon moment à parler, au plus grand plaisir de notre guide qui elle aussi aimait parler la langue de Molière et qui du coup m’a conseillé dans mon choix. Il a bien entendu fallu négocier l’achat du livre en question (mon vendeur aurait été déçu si j’étais partie en payant le prix maousse costaud) et voilà comment j’en suis venue à acquérir le témoignage de Loung Ung, une petite fille cambodgienne qui avait 5 ans lorsque les Khmers rouges arrivèrent au pouvoir.

 

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Je ne vous raconte rien de cette histoire, je vous laisse la découvrir mais je dois vous avouer que je l’ai commencé en montant dans l’avion à Siem Reap et terminé le soir même en arrivant à la maison. J’avais les yeux rouges comme un lapin albinos et l’hôtesse a dû me prendre pour une simple d’esprit mais j’ai trouvé l’histoire de cette petite fille tellement émouvante que je n’ai pas pu m’en arracher. Par contre, si vous êtes du genre âme sensible, achetez-vous plutôt le Journal de Mickey !

 


Publié dans Au fil des pages

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leah sen heuy Cambodge !

Publié le par Fille Ainée

Il est temps de remonter dans l’avion (à hélices – petit aéroport = petit avion).

 

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C’est certain que quand on peut boire du champagne au petit-déjeuner (photo à l’appui),

 

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qu'on aurait pu se faire grignoter les pieds par les poissons (pas vraiment eu envie mais c'était une option)

 

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et qu'on s'est fait balader en tuk-tuk avec chauffeur perso 6 jours d’affilée, il est difficile de revenir à la dure réalité de la tranche de pain moisie à 6h30 du mat et du vin blanc aux sulfites. En plus, je suis sûre que le frigo doit être vide et qu’il falloir aller le remplir.

 

Je laisse derrière moi un pays magnifique pour lequel j’ai vraiment eu un gros coup de cœur. De nombreux écrivains français ont évoqué le Cambodge, mais je retiens surtout ce que déclare Pierre Benoît dans le Roi Lépreux : « Si je m'y suis plu? J'ai fait plus que m'y plaire, ce pays, tu m'entends, je l'ai aimé. Je l'ai aimé comme on aime la chose à laquelle on doit finalement son bonheur. »

 

Avant de partir, je tiens juste à rajouter ce petit clin d’œil pour Nadine. Ici, les bébêtes de la forêt équatoriale sont…..énormes ! Rien à voir avec les araignées XXL de mon île chaude et humide.

 

On remarque 2 sortes de bestioles, celles qui sont intelligentes et qui se cachent dans le paysage pour mieux surprendre le touriste non averti qui aurait l’infortune de poser sa main au mauvais endroit (un conseil, gardez-les dans vos poches), comme le lézard qui bronze sur une des pierres du temple d’Angkor Vat ou encore cette grenouille nichée dans un creux de tronc d’arbre dans la foret inondée du lac Tonle Sap.

 

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Et puis, il y a les bébêtes qui ont tout faux comme ce gigantesque scorpion (mort certes mais où se cachent ses copains vivants, hein ?), cette araignée qui n’a pas compris que des cocons roses fluo, ça va se voir tout de suite surtout dans le noir ou encore ce mille-pattes de plus de 20 cm de long et d’un diamètre plus gros que celui de mon pouce ! On les a repérés tout de suite ceux-là !

 

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Quand tout a une "faim"

Publié le par Fille Ainée

Dernier jour à Siem Reap. Il a plu toute la nuit et les rues sont de plus en plus inondées. Soit vous chaussez vos tongs, soit vous circulez pieds nus.

 

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Ce matin, je vous emmène découvrir les spécialités culinaires Khmers. Cours de cuisine dans un petit restaurant pour apprendre à faire une salade de mangue verte et une soupe de poulet à la citronnelle. J’en salive d’avance.

 

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Tour de marché pour apprendre à reconnaître les ingrédients. On ouvre grands les yeux, on s’enivre du parfum des épices et surtout on évite de regarder où l’on pose les pieds.

 

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une petite nouille ?

 

Après 2 heures passées à éplucher, couper, hacher, moudre, voilà le résultat de nos efforts de groupe en cuisine. Il ne reste plus qu’à se mettre à table et à faire plaisir à nos papilles. Le tout dans la bonne humeur et les fous rires (ma mangue m’a échappé deux fois des mains pour aller atterrir 2 mètres plus loin !).

 

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Et pour digérer, je vous emmène dans une boutique très spéciale : Mekong Quilts. Il a fallu que dans une toute petite ville comme Siem Reap, je déniche la seule boutique de patchwork. Pas pour en faire, mais pour en acheter. 

 

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Ces quilts sont faits à la main par des femmes de village, au Cambodge et au Vietnam, qui en d’autres circonstances n’auraient eu d’autres choix que de laisser leurs enfants enfermés à clé dans leur maison pour se rendre à des kilomètres planter le riz et assurer ainsi un avenir à leur famille.

 

Chaque quilt est signé et porte le nom et la photo de la femme qui l’a réalisé. L’argent ainsi généré par la vente de ces quilts sert à changer la vie de ces villageois, à envoyer les enfants à l’école, à acheter des livres et à améliorer les conditions d’hygiène dans lesquelles vivent ces personnes. Si vous voulez en savoir plus et admirer leurs ouvrages, cliquez ICI. Quelque chose me dit que dans peu de temps une petite brunette va bientôt recevoir un très joli cadeau ! Une petite partie de son héritage en quelque sorte. 

 

Il est temps de refaire les valises. Bon, cessons de faire la tête, il y a plus malheureux que moi. Regardez ces deux-là !

 

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Que d’eau, que d’eau…

Publié le par Fille Ainée

Et surtout en vélo, c’est pas rigolo ! Ce matin, location obligée de cet engin sportif pour faire un dernier tour de temples. Le grand circuit fait 26 km (rajoutez 14km aller-retour pour y accéder), allons-y ! Coupée dans mon élan par une procession très colorée de moines vers une pagode de la ville :

 

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Pensez à emporter votre Kway car il pleut de plus en plus.

 

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Le mien a au moins 30 ans et j'ai découvert avec regret que ses propriétés imperméables ont du me lâcher il y a bien des années ! Evitez les poules, les chiens, les singes, les buffles, les nids de poule mais également les éléphants !

 

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Et ne faites surtout pas la tête !

 

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Ben oui jeune fille, c’est fatiguant le vélo !

 

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Fin de matinée, le constat est cruel, j’ai terminé le grand circuit mais je ne pourrai plus m’asseoir pendant 3 jours.

 

Option moins exténuante en début d’après-midi : visite du village flottant de Kompong Phluk qui se trouve sur le lac de Tonle Sap, qui est le plus grand lac d’eau douce d’Asie du sud-est.

 

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Il a été reconnu en tant que biosphère UNESCO en 1997. La superficie du lac pendant la saison sèche (février à mai), de près de 2 700 km² pour une profondeur d'environ un mètre, se voit quasiment multipliée par six quand arrivent les pluies de mousson. On estime alors que la surface du lac peut atteindre 16 000 km² et sa profondeur neuf mètres. Lors de sa crue, le lac envahit les forêts et les champs avoisinants. On flotte alors à la cime des arbres et la faune et la végétation sont impressionnantes. Des oiseaux, mais aussi de tout petits singes et surtout ces structures dans les branches qui ressemblent à des bouses de vaches. Comme aux dernières nouvelles, les vaches ne volent pas encore, j’en ai déduit qu’il devait s’agir de nids d’oiseaux!

 

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Le village entier est monté sur pilotis de plus de 6 mètres de haut.  Quel spectacle au moment de la période sèche, toutes ces habitations si hautes perchées. Attention, à la marche !

 

On passe devant la gendarmerie,

 

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le temple,

 

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et les maisons :

 

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Les villageois vaquent à leurs occupations sous l’œil curieux des touristes.

 

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Mais bientôt, le soleil se couche et il faut faire demi-tour. Les pecheurs rentrent chez eux avec des nasses pleines de poissons,

 

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et les enfants disent au revoir de la main.

 

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Pendant la visite, le lac a débordé sur la route qui le relie à Siem Reap ! Dur dur de rentrer à sec.

 

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