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Finissons par une course...

Publié le par Fille Ainée

Je vous l’avais promis, aujourd’hui on termine notre visite de Malacca.

 

Après une nuit à l’hôtel, les esprits sont frais, reposés et on se lance à nouveau dans la chaleur. Sauf que… j ‘ai l’impression soudain d’avoir oublié un truc ! Aurais-je du prévoir une tenue assortie à celle de Monsieur 3xrien ce matin ?

Finissons par une course...
Finissons par une course...

La question fondamentale que l’on est en droit de se poser est « qui a copié l’autre ? ». Vous ne croyez pas ?

 

Pour ne pas rester sur cette 'déception', nous avons décidé de faire une petite croisière sur la rivière. Celle dans laquelle se baignent les varans pour échapper à la chaleur. Je n'ai malheureusement pas été assez rapide pour prendre mes photos mais je peux vous garantir qu'ils sont nombreux. 

Finissons par une course...

La voie des eaux est la meilleure façon d'admirer l'autre côté du tableau. Et quelle diversité !

Finissons par une course...
Un HLM façon Malacca

Un HLM façon Malacca

Finissons par une course...
Finissons par une course...
Finissons par une course...
Finissons par une course...

Comme le moment de retourner dans nos pénates approchait et qu’il nous restait peu de temps, nous avons conclu notre visite avec le Baba & Nyonya museum. Un must si vous passez à Malacca.

 

Les Baba et Nyonya (Peranakan ou Chinois des détroits) sont les descendants des premiers immigrants chinois installés dans les colonies britanniques. Baba désigne les hommes (« père ») et Nyonya les femmes (« dame »).

 

Les premiers Baba-Nyonya sont issus de mariages entre des négociants chinois et des femmes malaises. De souche noble, ils ont intégré dans leur culture une grande partie de la culture malaise. Ils ont également développé une culture distincte et très riche qui a gardé son caractère unique sur la côte ouest de la Malaisie, et en particulier à Malacca.

 

 

Finissons par une course...

Le musée est en fait l’ancienne résidence d’une famille locale. Les photos étant interdites à l’intérieur (à part la première pièce car il faut bien encourager l’achat des cartes postales en fin de visite !), vous pouvez vous rendre sur son site ICI pour en savoir plus.

Finissons par une course...

Il m’a rappelé la Blue Mansion de Penang ou encore la Peranakan House, toujours à Penang.

 

Alors que nous étions prêts à partir tôt (pour éviter de nous retrouver pris dans les embouteillages du dimanche soir), voilà que nous sommes bloqués par le Tour de Langkawi ! Impossible de convaincre Monsieur 3xrien de quitter les lieux.

 

Le Tour de Langkawi est une course cycliste et l’Homme, frustré de n’avoir jamais vu en direct le Tour de France (et surtout sa caravane), crève d’envie de voir passer les coureurs. Et comme le bonheur de l’Homme passe avant tout, nous sommes restés en bord de route, par 36 degrés (à l’ombre tout de même !) à attendre l’arrivée des cyclistes.

 

Ce que l’Homme ignorait, c’est que de caravane que nenni et puis le passage se fait à allure fulgurante (la ligne d’arrivée était à 500 mètres). Petit moment exaltant tout même : ce cycliste qui s’est envolé dans les airs avec son deux roues car les rues de Malacca sont loin d’être aussi lisses que celles de France. Heureusement, il s’en est remis et a terminé sa course loin derrière ses collègues mais avec seulement quelques égratignures. L’Homme était comblé. Il en faut peu pour le rendre heureux.

 

Au final, il nous a fallu une heure de plus pour rejoindre Kuala Lumpur, ce soir là, mais on n’a jamais rien sans rien !

 

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L'Homme qui a oublié sa femme

Publié le par Fille Ainée

L'Homme qui a oublié sa femme

Qu'un homme oublie un anniversaire de mariage, jusqu'ici rien de très inhabituel (chez les 3xrien, c’est plutôt moi !). Mais le cas de Vaughan est plus étonnant : après un étrange malaise, il se réveille dans le métro londonien, totalement amnésique. Il ne se souvient ni de son nom, ni de son adresse, ni de sa famille. Il atterrit alors à l’hôpital où il séjourne pendant une semaine jusqu'à ce qu’un numéro de téléphone lui revienne en mémoire et le conduise à son meilleur ami qui s’empresse de lui rafraîchir la mémoire. Et c’est la stupéfaction ! Vaughan est en plein divorce. Pourtant, lorsqu'il revoit sa femme, c'est le coup de foudre. Malheureusement, elle n'a rien oublié de l'homme odieux qu'il était devenu... Prêt à tout pour la reconquérir, Vaughan saura-t-il réinventer sa vie ? 

 

L'histoire est légèrement niaiseuse mais comme l'auteur a beaucoup d'humour, on s’y laisse prendre. Au début, j’étais sceptique. Une telle perte de mémoire aussi soudaine est-elle probable ? Il semblerait que oui. Suite à un stress, un évènement douloureux, il est possible que d’un seul coup d’un seul, on ne souvienne plus de notre vie passée. Du coup, je sens que je vais me mettre à la méditation pour me calmer !!

 

Malgré son côté léger, cette histoire pose des questions très intéressantes sur notre identité profonde et surtout sur notre capacité à changer de vie. Vaughan s’interroge, tout au long du roman, sur le « comment en sommes-nous arrivés là ? ». Serait-ce la monotonie, la lassitude d’un mariage qui, au cours de vingt années, a transformé une merveilleuse histoire d’amour ?

 

L’œil de Vaughan est neuf et son analyse pleine de recul se heurte à la réalité.

 

J’ai aimé le ton pétillant et désopilant de ce roman sans prétention malgré le côté invraisemblable de l’histoire. Il se lit vite, on passe un moment agréable.  Et puis, je suis fan de cette ironie typiquement britannique ! Par contre, je doute qu’il me laisse un souvenir indélébile !

 

 

 

Publié dans Au fil des pages

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Changeons-nous les idées

Publié le par Fille Ainée

Le week-end dernier, Monsieur 3xrien, deux de nos Nains et moi-même, sommes partis en balade à Malacca. Ce n’était pas loin mais ca représentait un grand bol d’air frais car depuis quelques semaines je commence à tourner en rond. J'aspire au changement !

 

Samedi matin, tout le monde est sur le pont. Je m’active, je sers le petit-déjeuner (œufs brouillés, maquereau fumé, avocat, la totale !), fais la vaisselle, les lits, range, donne à manger aux félins en leur rappelant d’aboyer très fort si quiconque s’avisait d’approcher la maison pendant notre absence, bref, je cours dans tous les sens. En passant dans le couloir pour sortir la poubelle, je remarque l’Homme assit sur le canapé en train de jouer à Candy Crush !

 

D’un ton mielleux, qui aurait du lui mettre la puce à l’oreille, je lui demande si tout va bien. L’Homme lève les yeux et d’un air absent me demande si je suis bientôt prête à partir. La sueur qui me coule dans les yeux m’empêche de bien apprécier ma cible mon mari. Il est à peine 8 heures du matin et déjà j’ai parcouru l’équivalent de trois champs de course ! L’Homme, lui, a à peine bougé un muscle dans ce laps de temps. La très forte envie de lui renverser la poubelle sur la tête me prend subitement.

 

Il a du sentir la tension, le bougre ! Une onde de terreur lui passe dans les yeux, il se lève prestement et fuit disparaît dans le garage pour, déclare t-il « préparer la voiture ». Je lâche ma poubelle, essuie mon front ruisselant et renonce à l’idée de polluer mon canapé avec des restes de poisson car, au final, qui va nettoyer après ce moment d’humeur ???? hein ???? On respire à fond, on oublie et on se souvient que la vengeance est un plat qui se mange froid.

 

Il nous a fallu 2 heures pour arriver à Malacca. L’Homme avait exprimé le souhait de séjourner dans un « boutique hotel », c’est-à-dire, un petit hôtel de charme, plein de caractère. Lorsque nous sommes arrivés au Rosa, l’Homme est énormément remonté dans mon estime. C’est en effet un lieu charmant et je kiffe grave la déco ! Genre, je veux tout emporter dans ma valise au moment du check out.

Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées

Nous avons commencé notre exploration de la ville sitôt posées nos valises. C’est la deuxième fois que nous venons à Malacca mais j’ai l’impression de découvrir à nouveau les lieux. Il faut dire que la première fois, nous n’y sommes restés qu’une seule journée et c’était il y a 8 ans.

 

Comme l’idée farfelue de parcourir la ville à pied, en pleine chaleur, nous a prise, c’est en partant dans la mauvaise direction pour nous rendre dans le centre ville que nous avons découvert la prison. Comme quoi les choses sont bien faites !

 

Une façade qui ne paye pas de mine mais l’envie irrésistible de voir comment se présentent les lieux de l’autre côté du mur nous a poussé à entrer.

 

Ce bâtiment a été construit en 1860 et c’est seulement en 2014 que la prison est devenue un musée et ses occupants déplacés, au plus grand soulagement des Nains. À l’intérieur, tout a été préservé et l’intégralité des lieux est accessible à la visite.

Couloir menant aux cellules

Couloir menant aux cellules

Cellule 15

Cellule 15

Grand confort visiblement

Grand confort visiblement

La salle de bain commune (notez le manque d'intimité)

La salle de bain commune (notez le manque d'intimité)

Je dois vous avouer que j’ai ressenti un léger malaise à la vue de la salle de pendaison et je suis passée rapidement dans le couloir. Par contre, je suis rentrée dans les cellules pour admirer les graffitis laissés par les prisonniers.

Compter les jours jusqu'à la libération

Compter les jours jusqu'à la libération

Changeons-nous les idées

Ce que j’ai le plus apprécié, ce sont les archives listant chaque détenu avec photo et détails à l’appui. Je vous rappelle que Malacca était sous régime britannique pendant très longtemps (jusqu’en 1957) et un simple larcin était punissable de 15 jours de prison à cette époque.

La couleur des uniformes en fonction de la sévérité des délits

La couleur des uniformes en fonction de la sévérité des délits

Les cuisines

Les cuisines

Le 'rice cooker' (la casserole pour cuire le riz !!)

Le 'rice cooker' (la casserole pour cuire le riz !!)

Nous avons fini par reprendre la voiture pour nous rendre dans le centre ville.

 

J’avais fait une fixation sur la Maison du Gouverneur. Qu’est-ce que c’était joli sur les photos mais comme tout, en Malaisie, il faut se méfier ! Après avoir payé un droit d’entrée exorbitant (et au passage, je mentionne le fait que les étrangers payent le double des Malaisiens !), nous avons franchi les portes d’une bâtisse dilapidée, pour admirer les « cadeaux » reçus par le gouverneur de Malacca. Si vous souvenez bien, je vous avais présenté une demeure similaire à Kuala Lumpur ICI et qui plus est, avait un droit d’entrée gratuit.

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Au bout du compte, nous nous sommes consolés en espérant que notre généreuse donation servira à réparer la façade qui tombe en lambeau, à moins qu’elle ne tombe dans la poche d’un responsable (pas la façade mais la donation bien sûr !). On ne sait jamais ici.

 

En sortant, nous avons trouvé le Stadthuys, l’ancien hôtel de ville.

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Malacca a, tour à tour, fait la convoitise des portugais, des hollandais et enfin des britanniques du fait de sa position stratégique dans le détroit de Malacca. C’est le plus ancien port de la Malaisie. Il subsiste donc de nombreuses traces de ce passage occidental mais c’est l’influence hollandaise que nous remarquons le plus. Surtout au niveau de l’architecture.

Cour intérieure

Cour intérieure

L'église Christ Church

L'église Christ Church

Le Dutch graveyard (cimetière néerlandais), lui par contre, ne compte que 5 tombes hollandaises. Ce sont les plus anciennes et elles datent du 17eme siècle (entre 1670 et 1682). Les autres sont des tombes britanniques. À cette époque, difficile de résister à la malaria ou la dysenterie. C’est pourquoi nombreux sont les enfants enterrés ici.

Les racines des arbres soulèvent les pierres tombales, à moins que certains ne cherchent à s'échapper !

Les racines des arbres soulèvent les pierres tombales, à moins que certains ne cherchent à s'échapper !

Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées

Au pied de l’hôtel de ville attendent les trishaws pour promener les touristes. Ce sont de gros tricycles décorés, à l’origine de fleurs en papier, mais depuis quelques temps, la tendance a changé. C’est dommage. Je ne suis pas certaine que voyager à côté de Baby Shark soit vraiment dans nos priorités.

Changeons-nous les idées
À moins que vous ne préféreriez My Little Poney !

À moins que vous ne préféreriez My Little Poney !

Vous avez le choix !

Vous avez le choix !

Et puis si c’est pour devenir à moitié sourd pendant l’excursion, non merci ! Nous décidons sagement de faire l’impasse.

Nous préférons de loin visiter le centre-ville à pied.

Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées

Et surtout Jonker Street, l’artère principale de Chinatown. Avant, on pouvait y trouver des antiquaires sympas mais de nos jours, c’est plutôt piège à touristes. Nous nous contentons d’admirer les façades des maisons.

Changeons-nous les idées
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Changeons-nous les idées
Changeons-nous les idées
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Comme il était impératif de recharger les batteries, nous avons choisi d’aller goûter la spécialité locale : le chicken rice ball.

 

Le chicken rice est un de mes plats favoris mais ici, il s’agit de petites boules de riz cuit dans le bouillon de poulet et c’est tout aussi délicieux !

Sans oublier le Otak Otak, une pâte de poisson légèrement épicée

Sans oublier le Otak Otak, une pâte de poisson légèrement épicée

Et puis quel cadre ! Ça titille les papilles autant que les mirettes !

Changeons-nous les idées
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Montons à l'étage

Montons à l'étage

Changeons-nous les idées
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Il me faudrait une cloche comme celle-là pour appeler les Nains à table !

Il me faudrait une cloche comme celle-là pour appeler les Nains à table !

Changeons-nous les idées

Le week-end, à partir de 18 heures, Jonker Street s’anime avec le marché nocturne. Toujours les mêmes souvenirs et bibelots sans intérêt mais c’est toujours amusant de prendre un bain de foule. Et ce n’est pas parce qu’on sortait à peine de table que ça a dissuadé Monsieur 3xrien de goûter aux gâteaux farcis à la pâte de haricot rouge. C’est assez particulier mais on n’a pas vécu tant qu’on n’a pas essayé !

 

 

Changeons-nous les idées

Comme un chou, le principe est simple : vous choisissez celui qui a une bonne tête, il est ensuite rempli à la seringue, puis cuit pendant quelques minutes à la vapeur.

Changeons-nous les idées

Moi j’ai fait l’impasse. En pleine digestion, rien que la vue de ces gâteaux m'a donné envie d'exploser.

Changeons-nous les idées

Bon, la journée a été longue et les esprits bien fatigués, je vous propose de rentrer.

Changeons-nous les idées

La semaine prochaine, je vous relaterai la deuxième partie de notre périple. 

Changeons-nous les idées
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Anéantie !

Publié le par Fille Ainée

Credits : Gladys Simpson

Credits : Gladys Simpson

Gladys est une amie. Une artiste pleine de talent qui a réussi à capturer l’humeur du jour.

 

Merci Gladys !

Publié dans Tranches de vie

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Entre crayon et Gardenia

Publié le par Fille Ainée

Entre crayon et Gardenia

Je suis devenue une grande adepte de CE site Moodsewciety (et j'aime ses modèles avec des formes !) et de ses patrons gratuits. Certains sont un peu farfelus mais d’autres, en revanche, ont une petite touche d’originalité qui fait toute la différence.

 

Le dernier à avoir attiré mon attention est la jupe Gardenia ICI. J’aime sa forme très féminine et surtout ce volant dans le bas. Pour télécharger le patron, entrez votre adresse email et vous le retrouvez directement dans votre boîte, prêt à l’impression, dans la minute qui suit.

Entre crayon et Gardenia

Le seul petit hic est qu’une fois imprimé, je n’ai absolument pas compris pourquoi il y avait deux devants de forme différente. Si l’une de vous arrive à comprendre ce grand mystère, je suis preneuse.

 

Entre crayon et Gardenia

Comme j’ai horreur de m’avouer vaincue, je me suis contentée de découper le volant et je suis allée puiser dans mes réserves pour retrouver un patron de jupe crayon inratable. Vous retrouverez ce patron gratuit chez My Hand Made Space LA.

 

Entre crayon et Gardenia

Attention !!!! Ce patron taille petit. Croyant avoir affaire à une taille anglaise, j’ai coupé le 12 pour l’équivalent d’un 40 alors que ma taille américaine est un 8. Et bien m’en a pris car ma jupe me va comme un gant une jupe. Mesurez-vous bien avant de couper !!

Entre crayon et Gardenia

J’ai par contre raccourci ma jupe (et de ce fait passé outre la découpe de fente au dos) pour pouvoir lui rajouter le volant de la jupe Gardenia et repris la taille qui était légèrement trop grande.

 

Au final, un projet très facile et rapide à réaliser.

Entre crayon et Gardenia
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On ne s’en lasse jamais !

Publié le par Fille Ainée

On ne s’en lasse jamais !

J’ai passé l’âge de jouer à la poupée mais celles de Tilda ont un petit je ne sais quoi qui fait qu’on ne se lasse pas d’en créer encore et encore !

 

Nous avons surnommé celle-ci Pénélope. Allez savoir pourquoi !

On ne s’en lasse jamais !
On ne s’en lasse jamais !

C’est ma première blonde. Les précédentes étaient plutôt châtains, voire tiraient sur le roux ICI & LA.

On ne s’en lasse jamais !

Pénélope m’a pris plusieurs jours parce qu’avec des jambes de cette longueur, il en a fallu de la ouate.

 

Son jean est le bas de la salopette de l'ange jardinier, quant au T-shirt, j’ai dessiné le patron moi-même. Pas sorcier ! Je voulais lui donner un style casual chic.

On ne s’en lasse jamais !

Le sac à main a été réalisé dans une chute de cuir récupéré je ne sais plus où. Comme quoi, on ne sait jamais quand ça va servir mais il est toujours bon de récupérer des petites chutes.

On ne s’en lasse jamais !

Pénélope prendra bientôt sa place sur une étagère de mon nouvel Atelier. J’espère qu’elle ne sera pas malade pendant le vol ! Manquerait plus qu’elle se tache !!

On ne s’en lasse jamais !
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Eleanor Oliphant

Publié le par Fille Ainée

Eleanor Oliphant

Ce roman, ça faisait longtemps que j’en avais entendu parler. J’ai, au début, pensé qu’il faisait partie de la même catégorie que “Vieux, râleur et suicidaire” de Fredrik Backman ICI. Un roman léger, divertissant, et bien pas du tout.

 

Eleanor Oliphant est une jeune femme un peu particulière.
Dotée d'une culture générale supérieure à la moyenne, peu soucieuse des bonnes manières et du vernis social, elle dit les choses telles qu'elle les pense, sans fard, sans ambages. 

 

Fidèle à sa devise " Mieux vaut être seule que mal accompagnée ", Eleanor évite ses semblables et préfère passer ses weekends en compagnie d'une bouteille de vodka. 
 

Rien ne manque à sa vie minutieusement réglée et rythmée par ses conversations téléphoniques hebdomadaires avec " maman ". 
Mais tout change le jour où elle s'éprend du chanteur d'un groupe de rock à la mode. 

 

Décidée à conquérir de l'objet de son désir, Eleanor se lance dans un véritable marathon de transformations. Sur son chemin, elle croise aussi Raymond, un collègue qui sous des airs négligés, va lui faire repousser ses limites. 
 

C’est un roman plein d’humour, de légèreté, mais attention, ne vous y trompez pas. Au fur et à mesure de la lecture, on découvre un personnage beaucoup plus complexe, une histoire de vie bourrée d’émotions et on tombe littéralement sous le charme de ce personnage atypique.

 

Je vous recommande vivement cette lecture !

Publié dans Au fil des pages

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Ce n’est pas le Bengale mais presque

Publié le par Fille Ainée

Vous savez combien il reste de tigres en Malaisie ? Entre 250 et 340. Ce qui n’est vraiment pas beaucoup. Ils finissent en soupe pour la médecine traditionnelle chinoise et sont également victimes de la déforestation.

 

Un tigre, c’est beau mais c’est aussi très pratique pour effrayer les petits singes trop curieux. Si vous vous promenez dans les petites rues derrière chez nous, vous les voyez souvent monter la garde. Pas les vrais bien sûr mais leurs collègues en peluche. On se demande même si les singes, à force d’avoir été bernés par un tigre immobile, sont toujours dupes.

 

Il y a quelques semaines, nous avons passé le weekend dans un très joli hôtel à côté de Ipoh. Raj montait la garde à côté de la piscine. Pour effrayer les singes et les empêcher de nous prendre les fruits offerts par l’hôtel.

Ce n’est pas le Bengale mais presque

Alors quand Monsieur 3xrien m’a parlé de ses rencontres sur le terrain de golf (singes mais pas que…),

Ce n’est pas le Bengale mais presque

j’ai immédiatement pensé à ce petit livre déniché récemment en Britonie et que vous pouvez commander ICI

Ce n’est pas le Bengale mais presque

Sur la couverture, vous ne manquerez pas de remarquer Raj. Je me suis dit qu’il serait très utile pour empêcher les singes de ramasser les balles perdues.  


Ne pensez pas qu’il s’agisse d’un projet rapidement exécuté. Raj m’a pris un peu plus de 4 jours.

Ce n’est pas le Bengale mais presque

Beaucoup de détails, et puis surtout, contrairement au modèle qui préconise un tricot à plat, j’ai préféré le tricoter en rond.

 

Raj est parti rejoindre ses copains les moutons, réalisés LA, sur le terrain de golf hier et Monsieur 3xrien me confirme qu’aucun singe n’a osé montrer son nez !

Ce n’est pas le Bengale mais presque
Quelle ménagerie !

Quelle ménagerie !

Ce n’est pas le Bengale mais presque
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