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Et si on allait se gondoler !

Publié le par Fille Ainée

Venise, ville où seules les gondoles créent des embouteillages dans les canaux dignes du périphérique parisien.

Et si on allait se gondoler !

400 ponts et pas un seul sans escalier. Si franchement, après deux jours de visite, vous n'avez pas des mollets en béton c'est que vous avez triché !

Des maisons les pieds dans l'eau qui pourtant tiennent debout depuis des siècles. Certaines penchent légèrement, un peu comme nous après quelques verres d'Apérol Spritz.

Cliquez pour faire défiler tous ces palais
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Cette ville est un immense labyrinthe dans laquelle se perdre dans les ruelles étroites est non seulement autorisé mais carrément recommandé. Attention cependant à ne pas glisser sur des marches perfides recouvertes d'algues ; un faux pas et vous pourriez piquer du nez dans les eaux troubles de la lagune. 

Monsieur 3xrien m'a offert 3 jours dans la Sérénissime et je me suis régalée ! Et bizarrement, j'ai développé une obsession assez particulière pour les sonnettes et les poignées de porte. Est-ce normal Docteur ?

Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !Et si on allait se gondoler !
Et si on allait se gondoler !Et si on allait se gondoler !

Ces jours prochains, je vous emmène au Palais des Doges et à la Basilique. Je vous montrerai en passant le Pont des Soupirs, le Rialto et le Grand Canal. 

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Et de 4 !

Publié le par Fille Ainée

Et de 4 !

Et voilà, le quatrième bloc est terminé ! Toujours autant de plaisir à le réaliser même si cette petite vignette m'a donné du fil à retordre. 

Et de 4 !

Pour qu'elle soit bien régulière, je me suis servie d'un cercle en carton en guise de gabarit. Quelques fronces, un fil tiré, un passage éclair sous le fer à repasser... et hop !

Et de 4 !

Publié dans Patchwork

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Médusée !

Publié le par Fille Ainée

Médusée !

Sous l'océan glissent des corps gélatineux,
valsent au gré des courants, gracieux et paresseux.

Médusée !

Quel style, quelle élégance, on dirait qu'ils sont en transe.
En tutus fluorescents, ils sont plein d'assurance.

Médusée !

Mais si par malheur, vous les touchez
un petit choc et vous allez jurer.

 

Médusée !

Ces méduses-ci se laissent facilement admirer
et vous ne risquez pas de vous faire piquer. 

Médusée !

Une idée reprise à partir de mon article ICI mais cette fois-ci sans perle et sans fille de l'air. Le tuto se trouve toujours LA

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Au bord du vide

Publié le par Fille Ainée

Quand la météo fait grise mine et que même les escargots s'entraînent à la brasse coulée, on oublie ses envies bucoliques et on dégaine le mode improvisation créative.

Toutefois, cette opération n'est pas sans danger et il fallu faire preuve d'une grande discrétion au moment de l'infiltration... dans le repaire de l'Homme, son temple, son sanctuaire, son terrain sacré. Interdite d'entrée (surtout en son absence), il faut ruser. 

Une fois dans la place, récupérer une chute de bois qui, on l'espère, n'est pas censée servir pour un projet futur, de la colle à bois et une scie (juré, je l'ai remise à sa place). 

Et dans ma boîte des OKAOU, je retrouve une bobine en bois mise de côté.

Au bord du vide

Un peu d'huile de coude, un peu de sciure, beaucoup de colle et je crée un truc entre art et inutile mais qui, au moins, aura eu le mérite de m'occuper quelques heures. 

Au bord du vide

Mais qui reside donc dans cette minuscule maison perchée sur la colline ? Quel être minuscule, mais vaillant, doté de sacrés mollets pour gravir l'échelle de corde, occupe les lieux ? Je vous laisse en décider. 

Au bord du vide
Au bord du vide
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Miniature en mode majeur

Publié le par Fille Ainée

Miniature en mode majeur

Bienvenue dans une lanterne pas comme les autres !

Ici, on n'éclaire pas, on raconte. 

Vous êtes dans le salon d'une musicienne un brin rêveuse. Pas de doute, elle était là à peine quelques instants plus tôt. La preuve ? Ses chaussures abandonnées sur le tapis du salon, à côté de quelques partitions en désordre. 

Miniature en mode majeur

Elle s'était installée dans son fauteuil moelleux pour jouer du violon et puis a soudain changé d'avis. Son absence est si fraîche qu'on entend presque encore la dernière note flotter dans l'air.

Miniature en mode majeur

Dans l'âtre crépite un bon feu de bois. Même si le printemps joue à cache-cache derrière les rideaux du salon, l'air reste un brin frisquet. Et puis avouons-le, rien ne vaut le crépitement rassurant d'une bûche. 

Miniature en mode majeur

Au-dessus de la cheminée, une galerie de portraits observe la scène et semble désapprouver le joyeux désordre qui règne. 

Miniature en mode majeur

Sur la table basse, sont éparpillés des magazines de mode. 

Miniature en mode majeur

Il est temps de nous éclipser car ce salon est bien trop vivant pour rester vide longtemps !

Je dois vous avouer que je me suis beaucoup amusée à recréer cette petite scène de vie avec les moyens du bord. 

La lanterne ? Elle vient tout droit de chez le Suédois (vous savez celui où on va juste pour des bougies et on ressort avec un canapé et des boulettes). Je l'avais achetée pour un tout autre usage. C'est ce qu'on appelle une reconversion éclairée !

Cela dit, elle m'a donné du fil à retordre. Les meubles sont à l'échelle 1:24 - autant dire qu'il m'a fallu des doigts agiles et une bonne loupe. Mais ce fut un joli défi. 

Commençons par le tapis du salon. Et je vous vois sourire ! Car oui, je sais, j'ai toujours juré haut et fort et avec une conviction quasi militaire que jamais ô grand jamais, je ne ferais de napperon. Mais voilà, c'est fâcheux, ce tapis ressemble un peu à un napperon, je vous l'accorde. Mais nuance cruciale, ce n'en est pas un ! C'est un TAPIS !!

Pour réaliser le fauteuil moelleux dans lequel aime s'asseoir notre musicienne, je me suis appuyée sur un tuto trouvé sur le Net ICI. Il est en briton et même si votre anglais est limité, vous n'aurez aucun mal à suivre. Les images parlent d'elles-mêmes. Le gabarit est gentiment fourni sous la vidéo mais je vous mets le lien LA au cas où. 

Petite précision utile, il est prévu pour une échelle 1:12. Je l'ai donc imprimé à 50% et une fois découpé, je l'ai reporté sur de la cartonnette. J'ai réussi à le faire tenir droit avec beaucoup d'adhésif.

Le tuto de la cheminée, élément central du salon et qui ajoute une touche chaleureuse à la pièce, se trouve ICI. Et le gabarit LA. Il suffit de vous inscrire pour pouvoir l'imprimer. J'ai apporté quelques modifications car je voulais faire de la place pour accrocher les portraits de famille. Vous en trouverez à foison sur le Site de Perdition. À vous de choisir à quoi la Grande-Tante Eugénie ou l'oncle Maurice pouvaient bien ressembler. 

La plante verte est une composition personnelle pour laquelle j'ai ressorti mes crayons de couleur. La lampe, sur la table basse, est un joyeux assemblage de perles, et les accessoires (chaussures, violon, cheval à bascule et lampe sur la cheminée) proviennent de mon stock de charms achetés il y a fort longtemps sur mon île chaude et humide. Il était temps vraiment de leur trouver une utilité. 

Il ne me reste plus qu'à vous parler de la table basse, pièce maîtresse de ce salon miniature. Chinée chez un antiquaire, cette table a été soigneusement restaurée et entretenue avec amour par la propriétaire des lieux. Si les meubles pouvaient parler, celui-là vous dirait qu'il a été réalisé en balsa et cure-dents (et beaucoup de colle à bois !). Son but principal est d'accueillir magazines et autres bibelots. 

Nous voici arrivés à la fin de notre visite. J'espère que vous y avez pris plaisir et que cette petite incursion dans l'univers minuscule de ce salon vous a apporté un peu de magie et vous a peut-être fait sourire. Merci d'avoir pris le temps de découvrir ce petit monde où chaque objet raconte une histoire, chaque détail a son importance et, où, finalement, la taille des choses n'a aucun impact sur la grandeur des émotions qu'elles suscitent. Et je tiens particulièrement à remercier mon imprimante qui a fait un boulot colossal.

Comme pour toute visite guidée, merci de ne pas oublier le guide en sortant !

 

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Un Cocon... sans papillon !

Publié le par Fille Ainée

Un Cocon... sans papillon !

Lors du dernier séjour de Cadette dans mes pénates provençales, nous avions décidé de nous lancer dans la confection de la veste Cocoon de Sew Different.

De mon côté, pas de souci. Un chouette lainage attendait sagement son heure, frétillant presque à l'idée d'être coupé. En revanche, pour Cadette, la chasse au tissu idéal s'est presque transformée en une véritable épopée, digne d'une quête du Graal, avec moins de chevaliers et plus de rouleaux de tissu à considérer. 

Un Cocon... sans papillon !

Si vous avez cliqué sur le lien donné plus haut, vous aurez sans doute écarquillé les yeux en découvrant que ce patron est payant... alors que sur mon Site de Perdition, il est répertorié comme gratuit. Hérésie ? Arnaque ? Que nenni... il fut gratuit mais seulement pour un temps. Le coup classique. Et là, j'entends déjà les esprits affûtés murmurer : "mais alors... aurait-elle osé... PAYER !".

Je tiens beaucoup à ma réputation de radine patentée mais je sais, parfois, que même les plus inflexibles des principes vacillent face à une jolie coupe et un tissu qui n'attend que cela. Mais c'est là que Cadette est intervenue. Car figurez-vous, cette maligne n'avait pas laissé passer l'aubaine ! Elle avait dégainé son clic salvateur et téléchargé le patron à l'époque bénie où il était encore gratuit. 

J'aurais quand même pu m'appliquer au repassage !

J'aurais quand même pu m'appliquer au repassage !

De ce fait, il était logique que Cadette ait la priorité. Et puis, soyons honnêtes, observer quelqu'un d'autre essuyer les plâtres avant de se lancer, est une stratégie qui a fait ses preuves. Cadette s'est donc attaquée à la découpe de sa veste sous mon regard attentif et légèrement machiavélique (si elle se plante, je saurais quoi éviter !). Heureusement, la realisation ne présentait pas de piège sournois même si nous n'avions pas d'explications détaillées. 

Et hop, c'est dans la poche !

Et hop, c'est dans la poche !

Au premier essayage, ce fut le drame. Mais qui bon sang lui a fait des bras si courts ? Cadette luttait presque pour atteindre ses poches. Si nous avions seulement réalisé notre erreur plus tôt, nous nous serions épargné beaucoup de travail. Mais comme disait ma Grand-Mère, faire et défaire, c'est toujours travailler. La frustration était immense mais pas catastrophique. Donc, on reprend tout et on recoupe.

Sauf que... deuxième drame. En remontant les pièces du bas de la veste, je commets l'erreur fatale ! Dans un élan de confiance totalement injustifié, j'intervertis les pièces et la veste de Cadette perd ainsi son effet bulle qui en faisait tout son charme. Autant dire que c'est un constat accablant. Une erreur de débutante qu'à mon âge, je ne devrais plus faire. Cadette, quant à elle, encaisse le coup et se demande même si elle ne devrait pas plutôt se mettre au tricot. 

Un Cocon... sans papillon !

Mon esprit est maintenant un peu flou et il me semble - mais vraiment alors en toute incertitude - que d'autres petits soucis ont jalonné notre périple. Tout ce chaos aurait-il débuté car Cadette voulait un col châle et que sa veste se ferme ? Une chose est sûre, je suis contente que le col n'ait jamais vu le jour. Soyons honnêtes, je ne voulais pas être responsable d'un carnage textile. Me lancer dans un col châle, sans patron, était une idée à haut risque. Vu que la poisse nous collait déjà aux basques, mieux valait ne pas tenter le diable. Nous avons donc opté pour un petit col droit tout simple. Par contre, pour modifier le devant et le système de fermeture, aucun souci. 

Un Cocon... sans papillon !

Vous l'aurez peut-être remarqué, jusqu'à présent, je ne vous ai montré aucune photo de la veste de Cadette mais uniquement la mienne. J'aime entretenir le suspense et une touche de mystère pimente toujours un récit. Si je devais me contenter de vous conter la réalisation de ma veste, cet article tiendrait en trois lignes ! Tout s'est déroulé avec une simplicité déconcertante. J'ai des bras de longueur standard, la coupe me convient parfaitement et je n'ai ressenti aucun besoin de modifications. Même l'absence de boutonnage ne me perturbe pas une seconde. En revanche, il y a un détail qui m'a fait passer de l'extase à la désillusion : Le tissu ! Ce lainage qui m'avait tant séduite à l'achat, s'est révélé être un enfer à repasser. Un vrai rebelle. Il refuse obstinément à se laisser dompter sous la chaleur du fer. 

Et la doublure de la veste ! Parlons-en. Voilà un sujet qui semble simple en théorie mais qui, dans la réalité peut rapidement se transformer en un véritable cassé-tête chinois. Lorsque Cadette m'avait demandé s'il était possible de rajouter une doublure à sa veste, je n'y avais vu aucun inconvénient. 

Vous êtes-vous deja retrouvé au milieu d'un terrain de boue avec une carte déchirée ?

Cadette et moi avons cru y perdre la raison. Un véritable enchevêtrement, un dédale où on ne retrouve plus la sortie, un séjour dans une administration française où l'on aurait jamais le bon bout de papier, une maison qui rend fou !!! Pour finir, c'est ce tutoriel très bien expliqué qui nous a sauvé la vie. 

 

Mais même avec la doublure, Cadette a trouvé sa veste un peu morne et dépitée et a alors suggéré une petite touche décorative. Alors, ça, c'était pas dans le cahier des charges ! J'ai quand même joué le jeu et il en valait nettement la chandelle. Sa veste est devenue une pièce unique et a vraiment pris vie. Et contre toute attente, je la trouve beaucoup plus originale que la mienne. 

Qu'en pensez-vous ?

Un Cocon... sans papillon !
Un Cocon... sans papillon !
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