Une future pro de la canne blanche
Je suis peu sortie depuis que je suis arrivée dans ma Provence. Par manque de temps, par manque d’envie mais surtout PAS parce qu’ils me font peur ces chauffards, vous savez ceux qui vous montent dans le coffre au point où vous leur voyez même les poils du nez dans le rétroviseur !
Non, c’est aussi parce que je n’y vois plus grand chose. Déjà, il y a toutes ces heures passées sur l’ordinateur (mon agent est ravi !) mais aussi tous ces petits points que j’essaye de poser sur la toile entre deux traductions. Et quand je vous aurais dit que c’est du un fil sur un fil en petits points, vous allez comprendre pourquoi je vois mal les panneaux de signalisation… ou les grains de beauté du chauffard derrière !
Modèle de Marie Suarez proposé dans le dernier numéro (5) de « Il était un Fil », qui me servira de pièce de résistance centrale pour le prochain patch de l’été (si je ne perds pas la vue d’ici là).