C’en est fini des Le Guennec !
Ah, cet arbre généalogique a un peu pris racine mais je ne pouvais pas vous laisser finir l’année sans achever son histoire !
Je vous avais raconté, il y a quelques semaines, la branche des Le Guennec. Il ne me reste plus qu’à vous présenter la troisième génération. Le résultat d’une fusion passionnelle entre Marie Ploubalay et Brendan Le Guennec. Et qu’est-ce qu’ils en sont fiers de ces marmots ! Ou plutôt, des « marmottes », parce qu’il n’y a que des filles. On nage dans le rose.
Les grands-parents, de chaque côté, en sont devenus gagas. Ils les ont couvertes de cadeaux, ces gamines. Depuis le début. Alors bien entendu, ça a failli mettre la zizanie dans l’harmonie familiale.
Toute petite, Marie la Bigleuse (à ne pas confondre avec sa mère, mais comme on manquait sérieusement d’inspiration le jour de sa naissance, son père n’a rien su trouver d’autre !) a parfaitement compris qu’elle était la prunelle des yeux de son père. Et elle lui en fait voir de belles.
Une vraie peste et pourtant on lui donnerait le bon Dieu sans confession.
Sa petite sœur, Albina, quant à elle, est un heureux accident. On ne l’attendait plus.
C’est pendant un séjour en Espagne, après trois Margarita, et affublé d’un sombrero que le Brendan a voulu faire Tarzan accroché au lustre de leur location de vacances, ce qui a beaucoup fait rire la Marie qui n’a rien vu venir !
Mais le plus attachant dans toute cette histoire c’est Toutouasamemere, le caniche d’origine égyptienne que les filles ont reçu un Noël. Une bien belle bête qui se prête volontiers aux toilettages fréquents qu’on lui fait subir.
Comme ce chien fait vraiment partie de la famille, je n’ai pas hésité à le faire figurer sur mon tableau de chasse de famille.