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l'atelier de fille ainee

Quand le batik prend un tour dramatique

Publié le par Fille Ainée

C’est la première fois que je remets les pieds dans mon Atelier depuis décembre dernier. Heureusement que j’avais rangé avant de partir car avec le chaos qui y règne, il y a de quoi y perdre ses petits. Sauf que les miens sont tellement grands maintenant…

 

Pour célébrer ce retour en force, je me suis jetée sur un coupon de batik acheté dimanche dernier à une foire artisanale. Le motif vient de la côte est de la Malaisie, et c’est l’association de rose et de violet qui m’a fait flasher. Et puis son prix aussi : deux mètres de tissu pour 10 euros, on ne laisse pas passer. En plus, il a une petite élasticité qui est bien utile, surtout au niveau de la taille. Bref, vous avez compris, pas besoin de justifier mon achat.

 

Suite à tout cela, hier après-midi, j’ai déniché LE patron qui convenait. Il s’agit de Garden Party Dress de honigdesign, disponible gratuitement ICI. La belle aubaine ! 40 pages imprimées plus tard me voilà squattant la table de la salle à manger pour découper et raccorder toutes ces pages. Quelques incertitudes au niveau des marges d’impression font que certains panneaux ne sont pas aussi clairs qu’on le voudrait. Mais avec un peu de débrouille…

 

Premier petit problème, mon coupon de batik n’est pas assez grand pour réaliser des manches ¾. Ça commence mal. Mais très optimiste et surtout portée par un élan de spontanéité (et là j’aurais du entendre sonner une petite cloche d’alarme) rarement éprouvé depuis tous ces mois passés loin de ma MAC, je coupe !


Souvenez-vous de l’expression, on mesure deux fois et on coupe une fois ? C’est au moment où j’ai coupé la fente sur le devant du corsage que je me suis aperçue que j’avais coupé mon devant sans le centrer sur le motif. Une nouillerie de grande débutante ! Mais enfin Fille Aînée, à ton âge !

Quand le batik prend un tour dramatique

C’est vrai que comme je n’avais pas assez de tissu, mon premier reflexe a été d’économiser au maximum. Mais quand même ! Du coup, une fois ma robe terminée, je ne cesse de scruter cette fente d’encolure qui, eut-elle été déplacée d’un petit centimètre, aurait été parfaite. Car à part cette nouillerie de première catégorie et un probleme massif au niveau des raccords de motifs (que j’évoquerai plus loin), ma robe est impeccable. Tant au niveau de la coupe, que de la taille et du confort.

 

J’ai cependant apporté quelques modifications au niveau du patron. D’abord, j’ai rallongé la jupe car j’ai passé l’âge de porter des jupes/robes qui m’arrivent à mi-cuisse. Je laisse ça à mes Nains. Et puis, ma mère m’a faite avec des genoux campagnards que je préfère cacher.

Quand le batik prend un tour dramatique

Je n’ai pas doublé le corsage, en dépit des recommandations du patron initial, car sous nos climats tropicaux, une épaisseur vaut mieux que deux. Surtout si on n’a pas l’intention de passer la journée en sudisette et perdre ainsi 10 litres d’eau. Je me suis contentée de couper une parementure dans une chute de tissu. J’ai vu, sur certains blogs, que certaines avaient réalisé cette parementure avec un tissu contrasté. A noter !

 

Niveau taille, impeccable. J’ai taillé le corsage en 38 et la jupe en 40 car, chez moi, le bas a pris un certain volume que le haut n’a pas jugé bon de suivre. Un refus d’émancipation ! Surtout après plusieurs mois passés en France, le nez dans la charcuterie. Il m’a suffi de lâcher un peu les pinces du corsage pour qu’il s’adapte parfaitement sur la jupe.

 

En parlant de pinces, il y a eu la question de celles du dos. N’ayant pas compris pourquoi les pinces de la jupe ne s’alignaient pas avec les pinces du corsage dans le dos sur le patron, j’ai tout repris et déplacé les coupables pour qu’elles correspondent parfaitement. Tout ça histoire de tempérer cette nouillerie et d’effacer l’imperfection de mes raccords de motifs. Parce qu’à ce niveau, j’ai préféré jeter l’éponge et espérer une illusion d’optique plutôt que de transpirer à grosses gouttes sur ces fichus raccords. J'expliquerais ce manque de rigueur par un manque de tissu. Heureusement que je n’ai pas d’yeux dans le dos car, même si parfaitement cousue, ma fermeture invisible ne cache pas le décalage du motif de part et d’autre ! Une tuerie que j’appellerai nouillerie number two !

Quand le batik prend un tour dramatique

Je n’allais pas rester sur ces échecs. Vexée de cette première tentative et surtout cette fichue encolure, j’ai opté pour la récidive. Des petites fleurs cette fois-ci. Éliminant ainsi sournoisement le problème des raccords. Et là, jubilation !

Quand le batik prend un tour dramatique

Ma robe est digne d’être une robe. Je m’y sens bien. Trop bien.

Quand le batik prend un tour dramatique

Et du coup, je me suis enfin offerte ces fameuses manches 3/4 ! 

Quand le batik prend un tour dramatique

Ayant aperçu sur le Net des versions hiver, je sens que je vais user ce patron jusqu'à la corde. Il me faudra cependant attendre de rentrer en France car on ne trouve pas de tissus épais dans mes contrées tropicales !

Quand le batik prend un tour dramatique
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Et si tu venais baver dans mon thé ?

Publié le par Fille Ainée

Pour éviter de tourner en rond en regardant s’enduire mes murs et parce je n’avais toujours pas rangé ma pâte Fimo, je me suis remise au bricolage.


C’est en « feuilletant » mon site de perdition et parce que Monsieur 3xrien est un grand buveur de thé, que j’ai trouvé l’idée de l’escargot bavouilleur accroché au bord de la tasse pour retenir le sachet de thé super sympa.

Et si tu venais baver dans mon thé ?

Je ne sais malheureusement pas qui est à l’origine de ce gastéropode ; la boutique se trouve sur Etsy.

Et si tu venais baver dans mon thé ?

Monsieur 3xrien, quant à lui, même s’il ne trouve pas l’idée de cette limace à coquille grimpant le long de sa tasse très ragoutante, est ravi de ne plus avoir à se brûler les doigts pour aller à la pêche au sachet !

 

 

Et si tu venais baver dans mon thé ?

Et puis comme on s'amuse toujours plus quand on est deux...

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Des boutons… pour faire plus jeune

Publié le par Fille Ainée

Toujours empêtrée dans nos travaux de rénovation et plus on avance, plus le budget rétrécit, du coup, je recycle.

 

Sur le principe de ce qui était en haut, passe en bas, nous avons pris la décision de réutiliser un des meubles de salle de bain. Une bonne couche de peinture suffira mais par contre, j’ai voulu donner un coup de jeune aux poignées des tiroirs. Et là j’ai ressorti ma Fimo.

 

Cela faisait un moment que je n’avais pas fait de pâte à modeler et j’en avais oublié son côté thérapeutique. Rien de plus relaxant que de tripatouiller, de malaxer, de pétrir…

 

Je suis tout d’abord partie de poignées toutes simples en céramique mais je pense que tous les supports sont bons.

Et puis, j’ai fait des canes de blanc et de turquoise. Il existe des tonnes de tutos sur TonTube pour vous expliquer comment faire.

Des boutons… pour faire plus jeune

J’ai recouvert mes poignées et je les ai cuites au four à 130 degrés pendant 20 minutes.

Des boutons… pour faire plus jeune
Des boutons… pour faire plus jeune

Je les ai ensuite vernies avec un produit adapté à la pâte Fimo. Attention, tout autre vernis incolore les rend collantes et gare aux mouches qui passent !

Des boutons… pour faire plus jeune

Le tour est joué et ça donne un petit coup de jeune à un meuble bien laid, recouvert d’une épaisse couche de peinture marron à laquelle il va falloir que je m’attaque prochainement.

Des boutons… pour faire plus jeune
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Parce qu’Ivy s’inquiète…

Publié le par Fille Ainée

… et que Trotti languit !

 

J’ai reçu il y a quelques jours un message d’Ivy. Où êtes-vous Fille Ainée ? Ivy a même été jusqu'à contacter Moutie pour savoir si j’étais toujours de ce monde. Ivy, votre inquiétude me fait chaud au cœur. Oui vraiment. Une grosse bouffée de chaleur même. Et puis, il y a eu également Trotti qui s’ennuyait. Merci les filles !

 

Il est vrai que depuis la Nono dernière, je me suis faite très discrète. Mais que vous dire ? Échanger mes aiguilles contre un pinceau et vous raconter comment j’ai perdu pied à la deuxième couche de peinture sur le plafond de la cuisine – moment crucial pendant lequel j’ai brièvement envisagé de ma pendre à une des poutres (si seulement elle avait tenu le coup !) – mais qu’au final, je lui ai passé une couche de vermifuge pour éviter de nous retrouver avec un ver à l’œil lubrique au fond de l’assiette, ne m’a pas semblé être d’une importance extraordinaire et du coup j’ai renoncé à publier quoi que ce soit. Et pourtant, Ivy guettait.

 

Installée depuis la Nono dans nos pénates provençales et face à des travaux de rénovation qui s’éteeeeeeeeeernisent (et là une énorme envie de partager avec vous ce gentil courrier des impôts qui s’enquièrent de la date de finition – comme si j'étais nécromancienne !!!) j’ai raccompagné Monsieur 3xrien et deux de nos Nains sur le quai de la gare le 1er Janvier, puis Grand Nain quelques jours plus tard, pour me trouver seule, face à tous, sur le chantier.

 

Résolution du Nouvel An : non, non, non, pas perdre du poids mais survivre à la démolition de l’ancienne cuisine. Du jour au lendemain, je me retrouve avec mon copain micro-ondes. Et là, gros moment de solitude. Depuis, je propose mes services d’évaluation de repas tout prêt. Du genre la photo sur l’emballage n’a rien à voir avec le contenu gélatineux et sans goût sous le film plastique qui, si t’as pas une bonne paire de ciseaux te narguera jusqu'à ce que la faim te contraigne à retrouver la pince multiprises dans la caisse à outils de l’Homme !

 

J’ai tenu trois semaines ! Avec entre-temps l’intervention de Moutie et de sa cohorte. Et ça a bien failli finir en pugilat ! Et bien oui, manger sur ses genoux – même devant un magnifique feu de cheminée– a ses limites. Surtout quand il faut faire la vaisselle dans le lavabo de la salle de bain, entre sa brosse à dents et le savon au chèvrefeuille.

 

J’ai quand même réussi à rejoindre un groupe de tricoteuses assidues qui se réunit tous les mardis. Et ça me fait du bien de retrouver un peu de présence féminine pour échanger des banalités plutôt que de discuter du passage crucial d’une gaine dans l’enduit de finition. Je n’avais aucune idée que le positionnement précis d’une prise de courant allait me mettre dans de tels états de stress. Quant à l’épisode de l’évacuation des toilettes de l’étage directement dans la cave en-dessous car un petit malin avait découpé le tuyau PVC et omis de prévenir le reste de l’équipe, je n’ose même pas vous en faire un tableau au risque de vous couper l’appétit. Disons que lorsque je m’en suis aperçue, cela faisait bien 2 mois que les ouvriers avaient fréquenté l’endroit. Voyez, je vous l’avais dit ; plus faim d’un seul coup ! Encore plus efficace que ces régimes bidons qu’on vous propose le 1er janvier pour avoir une silhouette de rêve.

 

Pour vous résumer le chantier, la moitie du rez-de-chaussée de la maison est ouvert au grand vent et la seule cloison qui m’isole des courants d’air est constituée de trois planches pour étagère et d’un étai de chantier hâtivement érigé la veille de la Nono pour remplacer le plastique laissé par les maçons.

 

Je ne vous cache pas que j’ai appris le mot « patience » depuis ce début d’année. Le plombier qui attend le passage de l’électricien pour intervenir, électricien qui se demande quand finira le maçon, quant au plaquiste, il m’a prévenu qu’il ne reviendrait pas avant la semaine prochaine car il attend une livraison de laine. Quand je lui ai dit que moi aussi j’en avais commandé pour me faire une veste, ce moment d’hilarité nous a beaucoup soulagé !!

 

N’oublions pas les moments positifs comme l’installation de ma nouvelle cuisine en deux jours top chrono. Heure de livraison du chantier, 21h45 ! Je mourais d’envie d’aller me coucher et franchement quand le technicien est venu me demander où je voulais la dernière poignée du meuble garde-manger, j’ai failli lui répondre un truc inapproprié. Il était tellement pressé de rentrer chez lui et moi d’aller me jeter sous la couette qu’il en finissait par courir comme un dératé dans tous les sens. Remarquez, le fait que je sois restée assise sur les marches à le regarder poser les meubles n’a pas du beaucoup le détendre. Une fois le piano de cuisine installé, il ne me restait plus qu’à contacter le roi de l’électricité pour doubler la puissance du tableau. Un coup de fil de 10 minutes, une attente de trois semaines pour une visite de moins de 15 secondes pour changer UN fusible. Comme si je n’avais pas pu le faire moi-même !

 

Mention toute particulière pour mon gentil carreleur. Un Homme qui non seulement pose des carreaux à la perfection, mais donne des conseils pour tous mes bricolages, visse mes étagères au mur, laque mes meubles et surtout, surtout, peint mes plafonds !! Ce jour-là, le jour de la deuxième couche, il a bien du voir que j’étais au bord du gouffre.

 

Comme nous passons pas mal de temps ensemble – notre budget carrelage est astronomique ! – j’ai eu, à de nombreuses reprises, l’occasion de lui parler de mon site de perdition. Ce site où je récupère pas mal d’idées qui lui font lever les yeux au ciel ! Et comme il est adorable, je l’ai vu, un jour, revenir avec toute une pile de palettes. Il allait les jeter !!! Et depuis, j’ai fait ça…

 

 

 

 

une tête de lit pour la chambre de Petit Nain.

une tête de lit pour la chambre de Petit Nain.

J’ai d’abord poncé deux panneaux pour les rendre plus lisses. Je les ai ensuite lasurés pour protéger le bois,

Parce qu’Ivy s’inquiète…

et comme je les trouvais trop sombres pour mon projet, je les ai passés à la peinture blanche à l’essuyé. Une méthode sympa où l’on passe une fine couche de peinture que l’on essuie immédiatement avec une éponge légèrement humide. Le blanc s’incruste alors dans les nervures du bois. Et dans une palette, qu’est-ce qu’il y en a !

Parce qu’Ivy s’inquiète…

Le pochoir a été acheté sur Internet. Il existe des tas de sites et il se trouve que le mien est venu de Corée. Qui eut cru qu’il eut fait tant de chemin ! Et vu son prix, je suis heureuse que mes palettes aient été un don généreux !

Parce qu’Ivy s’inquiète…

J’ai terminé ma tête de lit par une fine couche de cire argentée. Petit Nain aime le bling, il fallait que ça berlute un peu au-dessus de sa tête !

Parce qu’Ivy s’inquiète…

Et c’est Monsieur Moutie qui m’a aidé à l’accrocher au mur, tout en me donnant un cours de perceuse. Ça pourra toujours servir.

Parce qu’Ivy s’inquiète…
Parce qu’Ivy s’inquiète…

Je vous préviens que j’ai déjà acheté ma scie circulaire ce qui gêne beaucoup Monsieur 3xrien. Apparemment, je lui enlève sa masculinité ! C’est surtout qu’il est jaloux, oui ! Je lui laisse le choix de la scie plongeante. Elle aussi me faisait envie mais ne lui enlevons pas tout.

 

Bon je vous laisse, je vais tordre des fourchettes.

 

Et au fait, Bonne Année !!!

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Tempête en vue

Publié le par Fille Ainée

Depuis quelques jours, le temps se dégrade. On annonce de fortes bourrasques, les températures sont en baisse et les éléments se déchaînent. Il a même neigé dans quelques quartiers. Une véritable snowpocalypse à en croire certains. Du jamais vu !

 

Evidemment, le premier jour où s’est abattue cette tempête hivernale, nous étions partis chercher notre sapin dans la montagne. Sans bien sûr nous douter que quelques heures plus tard, nous allions nous retrouver ensevelis sous une épaisse couche de neige. Réchauffement climatique, mon œil oui ! Les Nains voulaient un Noël blanc, ils vont l’avoir. Quelle aventure !

Tempête en vue

Pour un peu, on s’y croirait. Ah si seulement ! A défaut de neige et de bourrasque, nous nous contentons d’un globe déniché chez le Suédois, de quelques petits arbres miniatures, d’un bolide à deux sous vendu dans ma boutique japonaise et de neige artificielle. Montage un peu délicat pour éviter que toute cette poudreuse ne se répande à côté. Pour les températures en baisse, il nous faudra attendre encore quelques semaines !

Tempête en vue
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J’ai la boule !

Publié le par Fille Ainée

Quand ça commence à sentir le sapin...

J’ai la boule !

La grille est vendue ICI

J’ai la boule !

Une fois brodée, il ne vous reste plus qu'à suivre le tuto ci-dessous (vous n'êtes pas obligé(e) de vous déguiser en renne pour l'occasion !) pour réaliser votre boule de Noël.

J'ai choisi de ne pas transpercer ma boule pour faire passer l'attache mais je me suis contentée de coller un rond de feutrine au pistolet à colle. Pourquoi se compliquer la vie ?

Si cette année, c'est Noël petit budget, il existe des tas de grilles gratuites sur le Net pour obtenir le même résultat. 

 

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Quand vous avez une case de vide

Publié le par Fille Ainée

Pas de calendrier de l’avent pour les 3xrien cette année malgré le fait que j’ai, à maintes reprises, exprimé le souhait de me voir offrir celui où on trouve une petite bouteille de gin dans chaque fenêtre. Les Nains m’évitent et font la sourde oreille. Dommage !

 

Par contre, si vous avez décidé –ou vous avez le courage – de vous lancer dans cette petite tradition noëlesque pleine de charme et que vous manquez d’inspiration, je vous propose le sac à dos miniature au crochet, idéal pour y glisser des petites pièces de monnaie.

Quand vous avez une case de vide

Celles/ceux qui me suivent depuis quelques temps savent que je suis une vraie quiche en crochet. Ben pour une fois, j’ai réussi à m’en tirer. Même en briton (ou italien, ou espagnol), le tutorial ICI est facile à suivre et les expertes n’auront aucune difficulté à réaliser ce petit projet.

Quand vous avez une case de vide

Attention, ce n’est pas parce qu’il est petit qu’il va forcément vite. Et ne faites pas comme moi, pensez à glisser l’anse du sac dans la boucle du porte-clés avant de coudre !!

Quand vous avez une case de vide
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Ma bande de pt’its barbus !

Publié le par Fille Ainée

C’est carrément la saison des regroupements de foule. Chez les 3xrien, les barbus ont débarqué en force et certains sont déjà partis vers d’autres maisons d’adoption.

Ma bande de pt’its barbus !

Cette année, pour accélérer le processus de réalisation, j’ai innové dans la chaussette. Mais pas n’importe laquelle. On trouve, dans mon magasin de japonaiseries, des petites chaussettes à enfiler sur les pieds des meubles pour éviter les rayures au sol. Ces chaussinettes sont devenues les corps de mes barbus.

Ma bande de pt’its barbus !

Pour les faire tenir debout, je les ai remplis de riz puis d’ouate de rembourrage. Les premiers ont eu droit au riz noir très riche en antioxydant – mes barbus seront en pleine forme ! - et les suivants, au riz basmati. Il n’y avait plus que ça à la maison et comme chez nous le riz est très bon marché pourquoi nous en priver !

Ma bande de pt’its barbus !

Leur barbe est un tissu à poil long déniché il y a plusieurs années dans mon magasin de loisirs créatifs. De la feutrine, un pistolet à colle, et le tour est joué !

Ma bande de pt’its barbus !

Pour les réaliser, vous trouverez de nombreux modèles sur mon site de perdition comme ICI ou LA.

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À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

Publié le par Fille Ainée

Une matinée plus que grisounette, une grosse envie de cocooner en regardant tomber la pluie, une playlist de Noel à écouter en boucle et voilà… le début d’un petit ouvrage pour la Nono.

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

Des blocs hyper rapides à réaliser à la machine, inspirés des créations textiles de Sharon Blackman. Cette artiste crée de forts jolis tableaux avec des chutes de tissus récupérés dans des vêtements. Je me suis contentée de piocher dans mes nombreux restes.

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

Ce quilt de fin d’année comportera 9 blocs, à moins qu’incapable de m’arrêter sur ma lancée, je l’agrandisse au fur et a mesure. Qui sait !

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

Voici aujourd'hui les trois premiers. J'aime beaucoup le côté naïf de ces petits tableaux hivernaux. Et vous ?

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

L’ouvrage final sera disponible à la vente si cela intéresse l’une de vous.

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

Dans ce cas, merci de me contacter directement.

À défaut de neige, contentons-nous de la pluie !

À bientôt pour la suite !

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On va faire la planche

Publié le par Fille Ainée

Même si en ce moment je respire plus la poussière des travaux de rénovation que l’air frais du Mistral local, je n’en reste pas pour le moins inactive.

 

Alors qu’au printemps dernier, je vous bombardais de petits travaux de couture sous les Tropiques et collectionnais les robes d’été, j’ai aujourd’hui lâché l’aiguille pour maîtriser la scie sauteuse. Une révélation ! Par contre, triste constat, l’outillage du parfait bricoleur est pour le moment plutôt réservé aux mâles, aux vrais, aux musclés, ceux que ça ne dérange pas de manier des outils électriques qui pèsent une tonne. Cet article est donc un immense appel au secours : à quand l’outillage rose ?

 

Avant qu’il ne parte rejoindre nos pénates humides, j’ai coincé Monsieur 3xrien entre deux murs et l’ai imploré de partager son atelier. Attention, l’Homme est territorial et l’effort lui a coûté. Mais quelle revanche, les Filles !!

 

Ayant trouvé dans le jardin de vieilles planches délimitant un potager dans lequel la ciboulette faisait la tête, j’ai démonté la structure pour la récupérer. J’aime le vécu, la planche qui en a vu des escargots, qui a une histoire à raconter. Moutie les avait déjà lorgnées mais son erreur a été de ne pas venir les récupérer plus vite. 


De ces planches, j’ai réalisé une tête de lit pour notre nouvelle chambre d’amis.

On va faire la planche

C’est évidement sur mon site de perdition que j’ai trouvé l’inspiration et comme ça ne me semblait pas si sorcier, je me suis jetée à l’eau. Et de fil en aiguille, j’ai même investi dans une petite ponceuse orbitale jaune citron (à défaut de rose) pour m’accompagner dans mon projet.

 

 

On va faire la planche

Ces planches ont été fixées au dos par deux tasseaux, puis après avoir les avoir poncées, je me suis amusée à peindre un pochoir. J’ai terminé par une patine à la cire blanc colombe.

On va faire la planche

J'ai ensuite laissé le soin à Monsieur 3xrien d’accrocher l’œuvre finale tout en faisant très très attention à ce que mes planches ne tombent pas sur la tête de Moutie lorsqu’elle viendra en visite. Il y a des belles-mères qui sont parties pour moins que ça !

On va faire la planche
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